Pour sa première borne hors Île-de-France destinée à la recharge des véhicules électriques, Stations-e a choisi les environs de Rennes, en Bretagne. L’occasion pour l’opérateur de revenir sur la genèse du projet et sur ses ambitions pour les années à venir.
Un utilisateur de voitures électriques à la barre
Président et fondateur de Stations-e, Alain Rolland ne renie pas sa Renault Zoé acquise en 2015 : « Elle m’offre toujours ses 150 kilomètres d’autonomie et je pense la conserver. Je m’apprête en revanche à me débarrasser de ma dernière thermique en ajoutant au foyer une autre voiture électrique, avec un rayon d’action plus important de 400 km ».
Vous l’aurez compris : notre interviewé connaît parfaitement les joies et galères des électromobiliens. Son modèle de stations dépasse le simple schéma d’une borne de recharge. On y trouvera différents services, dont certains seront le fruit de partenariats locaux.
Mobilité durable et réseau de télécommunication
« Nous souhaitons impulser de la croissance en nous appuyant sur 4 piliers. En premier, la mobilité durable grâce à la recharge des véhicules électriques, et le digital avec le WiFi, et différents services de télécommunication qui amènent à la ville intelligente », lance Alain Rolland.
« Ce sont les 2 points que nous allons développer en priorité au niveau national, avec un objectif de 10 000 stations implantées sur tout le territoire pour 2026. Et ce, sans faire appel à l’argent des collectivités puisque nous finançons tout », poursuit-il.
Créée en 2018, la société Stations-e a levé des fonds fin 2019 auprès de la Caisse des dépôts. Avec le soutien de la Banque des territoires, une enveloppe de 200 millions d’euros va être consacrée au déploiement de ce réseau.
3e pilier : Un kiosque pour des services de proximité
« Aux premiers piliers nous ajouterons dans un deuxième temps un kiosque pour des services de proximité. Derrière cela, je mets par exemple la récupération de paniers alimentaires en circuit court, un point pour le click and collect ou l’autopartage, l’échange de batteries pour des scooters électriques, la location de vélos, l’affichage d’informations, des casiers de consigne, etc. », détaille Alain Rolland.
Et comme dernier pilier ? « La structure en totem permet de recevoir divers capteurs, pour la pollution, le bruit, le vent, la température, le traitement de l’image, des opérations de comptage, etc. Une école d’ingénieurs ou une entreprise pourra, par exemple, grâce à des capteurs spécifiques, compter les piétons qui passent à proximité, ou, à partir du dégagement de chaleur des voitures essence et diesel, calculer la proportion de modèles électriques dans le trafic. Des mises à jour des logiciels embarqués dans les véhicules sont également envisageables », nous répond-il.
Aider des startups
« Notre modèle permet à la fois de trouver le financement de nos stations, mais aussi d’aider les startups à se faire connaître. Certains de leurs développements numériques, par exemple, peuvent être intégrés à nos stations, un peu comme on ajoute une application à un smartphone. Ainsi, nous allons contribuer aussi à la création d’emplois », illustre Alain Rolland.
« Notre schéma nous amène à choisir pour emplacements des sites, privés ou publics, accessibles à tous 24/7. Ainsi des parkings de mairies ou de garages, par exemple, comme c’est le cas avec notre première station bretonne », précise-t-il.
« En revanche, nous ne nous implanterons pas sur les autoroutes, ni dans les parkings indoor des copropriétés. Nous serons surtout là où l’on ne roule pas à plus de 50 km/h », révèle-t-il.
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« J’ai réalisé ma première station de recharge en 2013. Dans le cadre du réseau Stations-e, démarré il y a un peu plus d’un an, nous avons déjà ouvert une petite dizaine de sites. Jeudi 28 janvier dernier, nous avons inauguré notre première station en province, à Saint-Grégoire, près de Rennes », rapporte Alain Rolland.
Si c’est Nissan Espace 3 de Rennes-Saint-Grégoire qui a fourni le foncier, la borne reste totalement indépendante de la concession.
« Le type de matériel installé dépend du lieu d’implantation et des besoins. À Saint-Grégoire, nous avons fait le choix de la recharge DC à une puissance de 24 kW. Un connecteur CHAdeMO et une prise pour le Combo CCS sont déjà disponibles. Nous allons prochainement ajouter une prise de type 2 », décrit-il.
2 000 stations de recharge par an à partir de 2023
« Pour 2025, nous avons prévu de mettre en service 1 500 stations en Bretagne, dont 300 sur l’aire urbaine de Rennes, pour un investissement évalué à un peu moins de 40 millions d’euros. Plus globalement, nous allons ouvrir 200 sites en France en 2021, 1 200 en 2022, puis 2 000 par an ensuite », chiffre Alain Rolland.
« Nous avons des projets et discussions dans les régions Grand Est et des Hauts-de-France, dans des départements de Normandie, et en Île-de-France. Pour l’instant, nous nous concentrons au nord de la Loire », liste-t-il.
« Nous sommes en discussion avec quelques mairies autour de Rennes pour réaliser nos prochaines installations dans le secteur. Nous nous attendons à recevoir des demandes de la part d’autres concessions de Nissan, et espérons celles de nombreuses collectivités », avance-t-il.
Une charge facturée au kWh
« Nous appliquons un tarif de 0,3 €/kWh. Il correspond au prix actuel du marché. Notre ambition est de trouver le moyen de le descendre afin de favoriser l’accès à la voiture électrique. Des contrats spécifiques à des flottes, plus avantageux, sont possibles » met en avant notre interlocuteur.
« Nous ne proposons pas le règlement par carte bancaire. Il est possible d’utiliser le réseau avec un smartphone en scannant un QR Code, ou d’utiliser un badge. Dans le cadre de l’interopérabilité, le Chargemap Pass, les cartes Izivia, BMW et Porsche, par exemple, sont acceptés », assure-t-il.
« Nous sommes en discussion avec quelques constructeurs qui réfléchissent à proposer des forfaits annuels de recharge à leurs clients, basés sur un kilométrage. Un peu à l’image de ce qui se pratique avec la téléphonie mobile », nous apprend-il.
Des bornes de recharge « made in France »
« Nos bornes proviennent de 3 entreprises françaises. Il existe une quinzaine de marques sérieuses dans l’Hexagone, avec lesquelles nous sommes susceptibles de travailler. Notre choix n’est pas seulement guidé par le prix du matériel. La roadmap de l’entreprise est toute aussi importante. Est-ce qu’elle a une vision des chargeurs à moyen et long termes, par exemple ? », pose Alain Rolland.
« Puisque nous allons sur des puissances de recharge de plus en plus élevées, nous réfléchissons pas mal à des moyens de stockage avec des capacités rapides de restitution à 2c, 3c et jusqu’à 10c en prototypage expérimental. Pour des questions de ce type, nous pouvons nous appuyer sur des partenaires comme Carwatt, connu pour son activité de rétrofit électrique de véhicules thermiques », se réjouit-il.
« Chez Stations-e, nous souhaitons aller vers de nouvelles plateformes évolutives, et créer un écosystème qui va au-delà de la voiture électrique seule. Et nous trouvons des solutions pour déployer au plus vite un réseau sans faire appel à l’argent public », conclut notre interlocuteur.
Automobile Propre et moi-même remercions vivement Alain Rolland pour sa disponibilité et la rapidité à laquelle il a donné suite à notre sollicitation d’interview.
Bonjour, j’ai acquis un Renault Captur E-Tech le 7 octobre 2020. Je n’évoquerai pas les retards et les dysfonctionnements que j’ai subis suite à la commande de ce véhicule en juin 2020 (le Captur E-Tech était censé être disponible à la fin du 2ème semestre). Je n’ai pas eu les options que j’avais commandées en juin (barres de toit, coloris ..) Mais bref, le véhicule bleu clair me plaît beaucoup et l’utilisation ne m’a pas posé de problème jusqu’ici. J’ai fait installer dans mon garage par Proxiserve une prise renforcée, la charge complète dure environ 3h. Je ne sais pas encore combien elle coûte, étant mensualisé chez Électricité de Strasbourg. Je me manifesterai dès que la régularisation se produira. J’ai ouvert un compte chez Freshmile qui gère les bornes de charge dans mon secteur (Molsheim-Mutzig 67120) mais je n’ai pas eu la possibilité de les utiliser, une fois la borne avait été vandalisée, une autre fois la borne ne fonctionnait pas. Vu en plus qu’il pleut fréquemment et que les bornes ne sont pas abritées, je me contente de la recharge à domicile, très pratique. Je n’ai pas encore effectué de parcours long et je me demande comment organiser un tel parcours par exemple vers la région lyonnaise ou vers l’Allemagne. Il est qu’avec un véhicule hybride, on ne court pas le risque de panne sèche, mais la traction électrique est vraiment très agréable et la gestion du mode de traction par le véhicule est efficace. Effectuant pour l’instant des parcours assez brefs (10-20-40 km), j’ai parcouru au total 1615 km avec un plein d’essence, il me reste encore 300 km d’autonomie. En usage local, le moteur thermique fonctionne rarement. Je saurai prochainement combien me coûte la partie électrique …
10 000 stations pour un budget de 200 M€ soit 20 k€ par station ???
Chez Ionity l’investissement est de 3 M€ par station soit 150 fois plus.
Étonnant cet écart.
Station e compte implanter 10 000 stations pour un budget de 200 M€ soit 20 k€ par station.
Chez Ionity on dépense en moyenne 3 M€ par station soit 150 fois plus.
L’écart est étonnant.
STOP !!! HALTE AU FEU !!!
J’aimerais bien qu’on arrête de surréagir à chaque fois sur les entreprises qui « FONT »
A contrario de ceux qui « CRITIQUENT » eux, ils « FONT »
Laissons Stations-e implanter ses bornes là ou ils le peuvent, ce sera toujours mieux qu’une pompe à gasoil pour faire le plein de nos Tesla.
Au terme de leur premier bilan, ils se rendront compte eux même des marges de progression de leur stations et définirons eux même les axes d’amélioration qui ne seront pas forcément identique pour chaque site .
Une fois les sites géographiques acquis, il sera plus simple de « upgrader » l’offre technique existante par : (j’ai lu)
– ombrelle photovoltaïque
– kiosque distribution automatisé
– point retrait
– centre de massage
– accès Wifi
– puissance de charge DC plus importante
Je pense aussi aux écrans publicitaire pour augmenter la rentabilité et un système de paiement simple
Le nombre et la nature des points de charges par site dépendra naturellement de la fréquentation et du type de clientelle
En ce qui concerne la zone géographique « Nord de la Loire » rien ne vous empêche à vous, critiques du sud de la Loire, d’initier les mêmes projets.
Je roule en Tesla, je ne vais que trop rarement en Bretagne, je ne serait donc pas un bon client mais je salue quand même l’initiative.
Je n’ai pas vu de forum sur leur site, peut être pourraient ils en mettre un en place pour recueillir les avis des internautes et utilisateurs comme z-e-n)
Bienvenue donc (a mon sens) Stations-e et bonne route à tous
« recharge DC à une puissance de 24 kW. Un connecteur CHAdeMO et une prise pour le Combo CCS »
Mon dieu…nous somme en 2021…et une « startup » se lance dans un réseau DC 24kW…mais quelle bande de visionnaires (ton ironique…)
L’information qu’il manque c’est l’emplacement visé de ces équipements… Car si c’est au fin fond d’une zone peu fréquentée, style Zi, que va bien pouvoir faire le client pendant sa charge?
Choix pour le moins étranges, je doute de la viabilité du projet:
– 30 cts pour de DC 25: je charge aussi rapidement en AC22 pour 7 cts…
– pas de vraie charge rapide donc
– pas de moyen de paiement simple (CB avec ou sans contact)
– toujours pas de toit pour protéger les pauvres électromobilistes pendant leur branchement/bagarre avec la borne.
– Et le sud de la Loire, il pue?
Bref, aucune innovation et des tarifs qui n’ont rien d’attractif.
Et encore un modèle de borne qui se contentera du strict minimum c’est à dire rien pour protéger l’usager payeur que nous sommes… Lamentable de se dire qu’on en est encore à ce stade en France à l’heure actuelle.
Duree à 22KW…. 😩
Et le Sud-Ouest encore Parent pauvre…
Oui, le demi-toit au-dessus de la borne fait un peu…comme s’il y avait une erreur de cote dans le plan mécanique de la pièce.
Bon courage en tout cas à cette société et qu’elle rende ses bornes faciles à utiliser sans badge et que la maintenance soit irréprochable!
Je pense qu’il faut des oui-oui dans ce monde de brutes. Cependant je remarque qu’il n’y a toujours pas une protection en cas de pluie, et qu’il manque un service (ou je ne l’ai pas lu) la borne wifi. Pendant la charge, on pourrait ainsi travailler avec son ordi.
Sachons monétiser ce temps d’attente aux bornes.
Mise en place d’un débit de boissons ? Quelques esprits grincheux seraient capables de trouver inapproprié de voir des conducteurs enfiler les pastis avant de reprendre la route.
Mise en place d’un salon de massage ? Les propriétaires de véhicules neufs ont la cinquantaine selon les statistiques et ont un pouvoir d’achat plus élevé que la moyenne. Formule un massage = une recharge et là on a un business plan
PS: tout cela est à prendre au xème degrés bien entendu
Des bornes sans surveillance c’est la gabegie assurée : place occupée par n’importe quel quidam, vandalisme chronique qui coulera financièrement les investisseurs et rendra bien incertain la disponibilité d’une borne fonctionnelle .
On est en France pas au Japon, il est nécessaire de construire des stations avec suffisamment de bornes pour amortir une surveillance 24/24 7/7
Je sais mon message est long… mais il amène je pense quelques réflexions utiles…
C’est dommage l’article pourrait paraître dans n’importe quelle autre source d’informations généraliste mais pas ici où on a besoin de plus de détails techniques, comptables, nombre d’employés et évolutions… éléments qui distinguent des autres… voir même faire participer la communauté aux spécifications et pourquoi pas à l’investissement… AP avec Chargemap est pour moi une base très importante !
Outre les fonctions annexes ou ouvertures à des « capteurs »… qui me semble assez farfelu… ou des casiers (distributeurs divers auquel le but est justement de ne rester que 2-3 minutes)… par rapport à une charge la nuit qui n’a pas besoin de plus de 3 à 7kW… une charge rapide c’est pour le restaurant, les courses, un cinéma à la rigueur… pas si on reste scotché 4 à 8 heures pour le boulot ou la nuit !!!
Quelques bornes et un business plan exponentiel sur les prochaines années… ça doit servir à convaincre des banquiers incrédules qui distribuent de l’argent qui n’est pas à eux… (et dont on oblige à soutenir certains projets innovants autour du VE ou de la transition écologique dont on sait qu’une grande majorité n’aboutira à rien de concret… vous savez la route solaire, la route à induction, les arbres éoliennes…).
Et Izivia ça devient quoi ???
Il faut aider les centres commerciaux et zones avec des restaurants à s’équiper de bornes rapides en grappes avec ombrages photovoltaïques.
Dans les zones résidentielles, urbaines ou entreprises il faut de très nombreuses prises à faible puissance.
Et surtout un moyen simple et rapide de lancer la charge (y compris facturation), 10 secondes et pas 3 minutes !
Il y a du « je » et « nous » mais on ne sait pas trop ce que cela représente.
Un réseau qui marche bien est celui installé pour Nissan (et ouvert aux autres avec Kiwhi) dans les Auchan et Ikea… et Lidl maintenant !
Merci à eux… cela correspond au besoin… Les anciens Leclerc avec des 3kW…(ou voiture ne chargeant pas plus en AC) on récupère combien en 30 minutes de courses :-))) inutile…
Comme je lis dans certains commentaires… beaucoup de bornes sont installées parce que poussées par les administrations avec de l’argent public… (syndicats d’électrification, communauté d’agglo…) mais combien fonctionnent bien ? uniquement quand il y a des gens réellement impliqués pour et un parc de véhicules administratifs qui les utilise… les autres sont à l’abandon !
L’investissement est une chose… on obtient un budget et on construit… mais ensuite on n’intègre pas la maintenance et comme il n’y a pas de rentrée d’argent si la borne ne fonctionne pas ou n’est pas installée au bon endroit… ça capote !
[humour] Je pense que je vais créer une entreprise pour racheter (à bas prix) toutes ces bornes pour 10% du prix et les revendre à bon prix aux grandes surfaces, restaurants et stations services :-) au moins il restera de l’argent pour la maintenance… voir si l’usage peut-être gratuit si l’hébergeur paie l’électricité et récupère des CEE…
Un chargeur combo ccs à 25kwh, ça n’a pas vraiment de sens à mon avis :
Soit le véhicule stationne pour longtemps (en gros, il ne repart pas juste après la charge, il reste plusieurs heures voire la nuit), et 7kwh en type 2, c’est largement suffisant (mais il faut plusieurs prises…) et c’est meilleur pour les batteries.
Soit il vient pour charger et repartir ensuite, alors il faut au minimum 50kwh voire 100kwh et plus, pour ne pas attendre des heures.
Et le fait de mettre des services autour, c’est bien, mais cela ne peut pas compenser la lenteur du chargeur.
Sympa ce réseau, mais apparemment qu’une seule borne. Si l’on s’y pointe à 4 ou 5 bonjour la galère.
Ce qui est intéressant, c’est que, enfin, les projets privés d’installation de bornes se multiplient. Il est sur que tous ne verront pas le jour mais l’essentiel est que 50 % des projets se concrétisent. Cela va largement accélérer la construction et l’installation de bornes de recharge. Ne serait ce que si tous les supermarchés et hyper acceptaient l’installation comme ils l’ont fait pour les pompes à essence. Cela règlerait les difficultés liées au foncier.
Marty nous voici de retour dans notre bonne veille france de 2012. En 2025 on aura 10000 bornes bon la on en 3. On demarre doucement et surement et on fini jamais. Avec 0 argent public juste 200 millions de la caisse et depot… la caisse et depot tu soulèves le haut de la caisse et il y a des sous d’argent public
« nous allons ouvrir 200 sites en France en 2021, 1 200 en 2022, puis 2 000 par an ensuite »
Pour ce qui est de la fabrication du matériel, j’y crois, on sait fabriquer à la chaine. Pour les infrastructures d’accueil des bornes j’y crois moins.
Bon point : le paiement au kWh. Surtout que a Rennes pour réussir a trouver une borne qui ne fait pas payer des tarifs exorbitants c’est difficile (hors réseau Tesla).
Par contre encore un fscking badge … même avec du roaming y’en a marre.
Je leur souhaite quand même du courage, et j’espère que ça fonctionnera ET que ça sera entretenu…
il est bizarre cet auvent qui ne protège pas totalement la stèle, non ? pour le reste, qui vivra verra.
Tiens, un réseau pour Zoe, Leaf et future e-Dacia…, et e-scooter!!!
Enfin réseau, il faut le dire vite, car avec des birnes isolées, disparates car provenant de x fabricants, on voit tout de suite ce que cela va donner côté maintenance …
En gros, comme celles des syndicats départementaux d’électricité dont la plupart sont hs, car non maintenues !
Y’a aumoins un avantage, c’est que c’est pas nos impôts qui financent…pour l’instant !
encore un, parfait. j’ai des doutes sur le ciblage. comme souvent a la fin ils se rachèterons. pour former des groupes + rentables.
pour la simplicité toujours pas de CB ! c’est une erreur. cela attirerai les clients. connecteur chademo ! type 2 c’est la base.
localement, les VE se rechargent a la maison a l’entreprise. et aux bornes gratuites. ces dernières sont un argument pour attirer la clientèle.
le manque est justement hors agglomération.
bon courage et réussite :)
Personnellement, je trouve que c’est entre les grandes villes que les bornes manquent.
La région de Rennes, et la Bretagne de manière générale, sont bien couvertes, que ce soit à plus ou à moins de 50kW. Je leur souhaite donc bon courage, d’autant que si 30cts/kW est un tarif « du marché », c’est vrai pour des charges > 50kW. En 22kW, on est a 20cts/kW, voir la tarification du SDE35.
Le service de conciergerie en revanche, j’approuve. La charge étant plus longue que sur une thermique, des services associés sont les bienvenus pendant l’attente 👍
Quand on voit le réseau Ionity, j’ai l’impression d’être dans le monde de oui-oui en lisant cet article.