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Alors qu’elle s’apprêtait à sortir des chaînes de production, la Renault Megane vient d’être mise sur pause faute de composants.
Les périodes de chômage partiel ne sont pas totalement derrière nous. Après les confinements pour raisons sanitaires, c’est maintenant la pénurie de semi-conducteurs qui met à mal l’industrie automobile. Renault n’y échappe pas et doit mettre sur pause la production de la Renault Megane e-Tech sur laquelle reposent pourtant beaucoup d’ambitions.
Face à cette situation et pour éviter une production en dents de scie et des coûts inutiles, la marque au losange a décidé d’arrêter les chaînes de production du site de Douai, dans le Nord. Conséquence évidente : les 2 300 salariés de l’usine seront placés en chômage partiel, alors que la compacte électrique prendra sans nul doute du retard.
Les premiers exemplaires de la Renault Megane électrique arriveront le mois prochain
Cette coupure temporaire, prévue du 14 au 25 avril prochain pour le moment, ne devrait pas retarder les premiers exemplaires. D’après Renault, ceux-ci seront bien livrés dans les temps, avec des premières remises de clés prévues au mois de mai en France. Les suivantes devront cependant se faire un peu plus désirer.
Voilà donc un nouveau grain de sable dans la mécanique du programme de production de la marque française. Car en plus de cette pénurie, la situation en Ukraine prive aussi Renault de nombreuses pièces. C’est l’une des raisons qui ont poussé l’usine de Cléon, où sont fabriqués les moteurs électriques, à couper les chaînes en mars dernier.
TSMC est le seul fabricant mondial de semiconducteurs de haute technologie.
Ils ont du mal à fournir. Ils priorisent les éléments à grosse marge comme les cartes graphiques pour les mineurs de bitcoins, la téléphonie et surement les équipementiers qui paient le plus.
Ca pourrait expliquer en partie les hausses de prix des Tesla.
Une fonderie se chiffre en milliards d’euros et les concurents ont prit des années de retard en ne voulant plus investir dans la course à la miniaturisation.
Avant de déclarer la guerre à la Russie, il fallait réfléchir aux conséquences. On ne part pas à la guerre sans préparation. Sauf bien sûr la gagner n’est qu’un but secondaire.
Si on creuse vraiment, il n’y a aucune pénurie des composants, juste l’administration Biden qui l’organise on faisant le « blocus » de Taïwan (porte-avions…) pour emmerder la Chine qui domine tout…
Idem pour tirer les ficelles de l’Otan et la guerre en Ukraine…
En fait, « l’ennemi » c’est pas la mondialisation, c’est les USA qui ne supportent pas de perdre leur hégémonie, ils sont très mauvais perdants…
(On a déjà vu ce qu’ils ont fait à Huawai, faute de pouvoir les battre à la régulière technologiquement…)
Les temps sont durs pour nos industriels ! S’il y survivent, vont-ils apprendre de leurs erreurs, enfin auront-ils encore les moyens de le faire ?
A trop jouer avec les limites, les stocks, les économies de bouts de chandelles…
Les spécialistes avaient prédit la fin de certains constructeurs automobiles pour cette décennie, on saura bientot lesquels… En espérant qu’ils ne soient pas français !🤞
Comme quoi les voitures sont devenues extrêmement dépendantes de l’électronique.
Un petit grain de sable dans le système et la machine entière s’arrête.
Je devais recevoir la mienne fin juin, j’ai comme l’impression que ce sera en octobre. 😂
C’est bien regrettable cette nouvelle.
J’avais mis la Renault Megane électrique en top position dans ma liste des voitures éligibles à remplacer mon thermique.
Et comme j’attends le marché de l’occasion, ça repousse mes projets à au moins 1 ans
Sans vraiment de rapport, mais cela sent l’extinction de certains dinosaures…
Avons-nous vraiment besoin d’une « voiture » neuve ?
Quand on regarde la longueur des délais annoncés des commandes d’automobiles en ce moment (Tesla inclus) et le nb de report de ces délais chez tous les fabricants – voire la suppression d’éléments de la voiture -, que ce soit en VE ou VT, force est de constater que les délais sont plus longs et moins bien tenus qu’avant.
Les causes s’appellent ruptures composants et Covid.
Après chaque constructeur communique comme il l’entend mais au final pour l’acheteur c’est le même résultat.
Les composants cela permet de presque tout justifier, priorisation du VT sur le VE comme le nissan Arya.
Qui fabrique les composants et à quel coût, va peut-être falloir changer la stratégie des entreprises européenne américaine et jouet plus collectif.
On a laissé des groupes délocaliser leur production à l’étranger. Maintenant on s’en mords les doigts et on est à la merci de l’Asie.
A coté de chez moi il y avait Atmel à Rousset qui était une usine à la pointe dans les années 2000. Maintenant ça n’existe plus. Il y a des projets mais l’investissement est énorme vu que l’usine est à l’abandon et qu’il n’y a pas eu d’investissement depuis 15 ans. Toutes les machines sont à remplacer.
Si je comprends bien Tesla n’est pas touché par le problème, dans le n’importe quoi il n’y a pas de limite.
La guerre entre vieux constructeurs européens et nouveaux constructeurs asiatiques ne fait que commencer…ces pénuries sont évidemment organisees aux bénéfices de ces derniers
Les semi conducteurs certes, mais pourrions nous avoir des infos sur le niveau des commandes ?
Ce n’est effectivement pas juste un problème d’engagement : La chaîne de production n’est plus maîtrisée de À à Z, la prise de risque n’est pas quantifiée en conception.
Il va peut être falloir que les grands industriels, dont les constructeurs automobiles, apprennent à sécuriser leurs approvisionnement en s’engageant sur des volumes fermes et pas de vagues estimations !
La plupart des constructeurs sont concernés par ce problème donc ce n’est pas une surprise. Quand on ne maîtrise pas toute la chaîne de production, on devient dépendant des sous traitants. Il faudrait peut être revoir cette stratégie où continuer à foncer droit dans le mur.
Ah la mondialisation, quel bonheur… :))
Ont épuisé les stocks de matière pour fabriquer les jantes
Si les constructeurs n’arrivent plus à se fournir, c’est le début de la fin pour certainement les plus fragiles. les ventes étaient déjà dans le rouge vif depuis 2019 pour un grand nombre, mais là on arrive vraiment dans le dur. Une justification d’augmentation agressive de prix ne fera certainement pas décoller les ventes. Les jours d’un marché automobile deux fois plus faible que les années 2010 2020 va s’installer dans les prochains mois et pour longtemps.
À lire la presse, les VE de Renault étaient présentés comme 100% made in France. Manifestement c’est plutôt le montage qui est fait en France…