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Stimulé par l’incrustation de l’ID.3 au sommet du marché norvégien des voitures particulières le mois dernier, Volkswagen s’apprête à battre de nouveaux records de ventes en modèles électriques l’année prochaine.
Simple coup de communication ? Que nenni ! Il suffit de surfer sur le site Internet de la branche norvégienne de Volkswagen pour constater l’omniprésence des voitures à batterie de traction. On serait presque tenté de questionner : Mais où sont passé les diesel et autres modèles à moteur essence ? Quelques clics permettent quand même de les retrouver, derrière les ID.3, ID.4, e-Up! et Golf GTE.
En 2019, plus de 60.000 des 142.400 voitures particulières vendues en Norvège étaient électriques. Soit un peu plus de 42% du marché. Une part qui ne cesse de s’accroître au point de dépasser les 60% le mois dernier.
Cette tendance, dans un pays qui a programmé de stopper dès 2025 la vente des voitures gavées aux produits pétroliers, va dans le sens des projections de Volkswagen Norvège. D’utopiques, elles n’en ont que l’apparence, si on est prêt à fermer les yeux sur quelques possibles points de pourcentage en défaut fin 2021.
Le constructeur a aussi été encouragé dans sa déclaration par le report en 2021 de l’exonération gouvernementale de taxes sur les électriques.
Plus fort encore : Il compte jouer les bons élèves et devancer l’appel gouvernemental en débarrassant à partir de 2023 son catalogue des modèles diesel et essence. Un contexte qui aide les marques prête au virage branché à se projeter dans la durée en Norvège
La Norvège a beaucoup d’hydroélectrique ce qui est bien mieux que du solaire ou éolien non pilotable. Ils n’ont pas de nucléaire donc pas de question à se poser sur ce sujet (La France, l’Allemagne, la Suisse ont choisi de réduire la part de nucléaire, problème à gérer…). Ils ont du pétrole et du gaz à vendre aux autres donc des entrées d’argent.
Finalement ils peuvent financer leurs achats de VE par leurs ventes de pétrole et gaz à ceux fabriquant des VE tout en les faisant tourner à l’électricité hydroélectrique. La boucle s’arrêtera lorsque les ventes de pétrole et de gaz seront en nette baisse. C’est un peu comique ; ce sont ceux qui fabriquent les VE qui devraient être les 1ers à faire tourner leurs voitures à l’électricité, pas ceux qui vendent du pétrole. Au moins ça créé du commerce.
C’est pas dans nos contrées que cela arrivera de si tôt… La Norvège n’a pas d’industrie ni d’emplois dans la prod automobile fumante à préserver, ce qui lui permet d’avancer sans boulet.