Un temps menacé, Seat pourrait finalement rester sur le marché automobile avec une citadine électrique d’entrée de gamme, cousine de la Volkswagen ID.1.

Avant de gérer Renault, Luca de Meo a redressé Seat. Il a notamment eu l’idée de faire de Cupra, le label sportif de la firme espagnole, une marque à part entière. Avec Cupra, Seat s’offrait une nouvelle jeunesse et pouvait vendre des autos plus chères !

Mais ce qui devait arriver arriva : avec ses meilleures marges, Cupra a pris le dessus et Seat est délaissé. Au point que l’avenir du label est devenu bien flou. Il s’est dit qu’il était même sur le point de disparaître totalement une fois les actuels modèles arrivés au bout de leur cycle de vie.

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Mais Seat n’est pas encore condamné. La marque devrait survivre, en étant limitée à l’entrée de gamme du groupe Volkswagen. Un projet est notamment de spécialiser Seat dans les engins de petite mobilité, avec des scooters et un quadricycle électriques. A cela pourrait s’ajouter une “vraie” citadine électrique, une piste avancée par Autocar.

Si un tel modèle se concrétise, il ne fait guère de doute qu’il sera étroitement dérivé de la future Volkswagen ID.1, de la même manière que la Mii était une Up rebadgée. Cela permettrait à Volkswagen de mieux rentabiliser la conception de sa petite auto électrique, promise avec un prix de base sous les 20.000 € sans bonus. En prenant en compte la logique des positionnements des marques, la Seat pourrait avoir un tarif de départ plus agressif.

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