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Cousine directe de la Porsche Taycan, l’Audi e-Tron GT fait face à des problématiques similaires et fait l’objet d’une campagne de rappel.
Tout juste lancée sur le marché, l’Audi e-Tron GT est la première berline électrique de la marque. Elle reprend la base technique de la Porsche Taycan, avec laquelle elle partage ses caractéristiques, mais aussi ses problèmes de jeunesse. Audi lance une campagne de rappel.
Comme la berline de Zuffenhausen donc, l’Audi e-Tron GT doit rejoindre les ateliers du constructeur pour recevoir un correctif du logiciel qui gère l’électronique de puissance. Les symptômes : une perte rapide de puissance pouvant mener jusqu’à l’arrêt complet de la voiture.
Une perte subite de puissance entraînant la panne
D’après la marque aux anneaux, il ne faudrait que 90 secondes à la berline pour s’arrêter lorsqu’elle roule à 150 km/h. Un problème qui n’a touché que 9 conducteurs pour le moment, mais suffisamment inquiétant pour rappeler les exemplaires concernés.
Audi précise que 1 728 exemplaires fabriqués entre le 20 novembre 2020 et le 20 avril 2021 sont concernés par cette campagne de rappel. Soit bien moins que les 43 000 Porsche Taycan invitées à rejoindre les ateliers par Porsche.
des mises a jours (rappels) il y en as toujours eu et il y en aura toujours ….
la seule différence c est que la c’est urgent car cela touche la viabilité de la voiture .
Audi communique, je trouve ça bien .
combien de contructeurs vont en douce faire l upgrade des ordi de bords une fois par an lors de la révision sans rien dire a personne et pour peu que le tech sache faire et que sa valise fonctionne ?
J’ai l’impression que les constructeurs automobiles n’ont pas encore bien réalisé les conséquences de la complexification considérable des logiciels embarqués induite par l’electrification massive des vehicules (et je ne parle même pas des aides à la conduite sophistiquées nécessaires au développement des conduites plus ‘autonomes’). Ils vont se retrouver dans la situation des avionneurs et équipementiers aéronautiques dans les années 1980-90, avec la généralisation des commandes de vol électriques, des systèmes de navigation avancés et des FADECs. Les constructeurs vont devoir apprendre à spécifier, valider, coder et vérifier des logiciels hyper robustes, gérer les configurations, tracer les évolutions, garantir l’absence de régressions, mettre en place des mécanismes permettant d’assurer l’absence de corruption – involontaire voire… volontaire (hacking / malveillance) – lors du téléchargement sur les calculateurs cibles… La mise en place de procédures de développement du type DO178 comme dans l’aeronautique, voire ARP4754 pour les fonctions sécuritaires réellement critiques (freinage, conduite ‘autonome’) me parait inévitable à court terme. Les coûts et les délais vont probablement en prendre un coup.
Les mises à jour ne se font pas par téléchargement (« On The Air ») comme chez Tesla ? Décidément en matière de logiciel il vaut mieux faire appel aux compétences que l’on trouve dans la silicon valley qu’en Allemagne ou au Japon !
Suffit de rouler à 250km/h pour avoir plus de temps et de distance avant l’arrêt….
et à quel prix ce joujou est-il donc vendu..
et pas possible de faire une mise à jour directement comme T….