Essayez BMW i5 ?
Configurez votre véhicule BMW i5 ou demandez un essai gratuitement.
Qui dit nouvelle BMW Série 5 dit nouvelle Série 5 Touring. Et la version électrique ne fait pas exception. Dans la foulée de la berline i5, BMW s'apprête donc à lancer son premier break électrique.
Présentée au grand public à l’occasion du salon de Munich en septembre dernier, la dernière BMW Série 5 était accompagnée de sa déclinaison électrique, la i5. Une variante qui permet au constructeur d’aligner une gamme électrifiée assez complète avec les SUV iX1, iX2, ix3 et iX, ainsi que les berlines i4, i5 et i7.
Cette famille sera complétée dans quelques semaines par le premier break électrique bavarois. La Série 5 se décline en break, la i5 fera de même. Aucune raison de s’en priver. On devrait logiquement retrouver les mêmes motorisations que pour la berline : i5 eDrive40 de 250 kW/340 ch (autonomie de 498 à 582 km pour la berline) et i5 M60 xDrive 442 kW/601 ch (autonomie de 455 à 516 km).
Le principe d’un break électrique est encore rare, mais pas totalement inédit. En revanche, la BMW i5 Touring aura le champ libre dans son segment. À ce niveau de gamme, aucun autre constructeur ne propose d’équivalent. Pour l’instant, puisque Audi finalise la mise au point de son A6 Avant eTron qui devrait arriver sur le marché après la i5. De son côté, Mercedes ne semble pas envisager de break électrique, et le spécialiste du genre, Volvo, hésite encore sur l’avenir électrique de sa gamme de breaks.
À lire aussi Neue Klasse : six modèles pour la prochaine révolution électrique de BMW
Un break, c’est toujours mieux qu’un SUV du point de vue de l’aérodynamique, mais le but, c’est quand même d’avoir un espace de chargement et de la place pour les jambes des passagers.
Or dans ce cas, on a à peu près la même place à l’arrière que dans un Renault Captur et une longueur de chargement à peine plus long qu’une Prius pour une voiture 10 à 20% plus longue…
A quoi bon mettre un capot de 1m50 dans une voiture électrique ? Du temps des 6 en ligne ou des V8 et V12, j’en comprenais l’utilité (de la place occupée, par forcément de la cylindrée des moteurs) mais dans ce cas, c’est juste des ingénieurs qui ne tirent pas partie des avantages d’une motorisation électrique.
De la part du constructeur qui a sorti la i3 il y a plus de 10 ans, j’attendais nettement mieux !
J’ai jamais aimé les break. Je trouve ça beaucoup trop long (5m de long pour cette BMW). Mais c’est bien d’en proposer en électrique. Ca fait plus de choix pour les conducteurs (même si le prix risque de piquer)
Je déplore déjà en avance que la version électrique reposera encore sur une architecture obsolète, aucune version 4 roues motrices à l’exception de la version sport qui aura la pire autonomie et aucun frunk.
Allez, encore une photo dans le noir, en contre-jour et sous-exposée.
Quelle créativité chez ces constructeurs automobiles!
Ca fait combien de breaks électriques au total sur le marché français ?
Je vois MG MG5, Peugeot e-308 SW, Opel Astra Sports Tourer, et donc maintenant BMW i5 Touring, en oublie-je ?