Les voitures électriques peuvent contribuer à réduire la fatigue au volant grâce à leur confort de conduite. Voici 5 raisons principales pour lesquelles les voyages en électrique sont moins fatigants.
Quand on parle de voyages en voiture électrique, un argument revient fréquemment, celui de l’absence (ou de l’économie) de fatigue lors des longs trajets. Je me suis longtemps posé la question de la pertinence de cette affirmation, jusqu’à ce que je passe à l’électrique. Et que je constate par moi-même que c’était vrai. En fait, comme souvent dans ce type de débat, les plus incrédules sont celles et ceux qui n’ont encore jamais mis les fesses dans une voiture électrique.
Certes, il faut également reconnaître que les thermiques les plus récentes sont devenues aussi très silencieuses et douces à conduire. Mais cette quiétude et ce confort concernent presque exclusivement le haut de gamme, alors qu’en électrique tous les modèles sont zen. Et, de toute façon, la différence reste importante. A tel point que quand on a longtemps roulé uniquement en électrique, se remettre au volant d’une thermique, même de luxe, même récente, possède ce petit fumet du retour vers quelque chose d’un peu rustique.
Mais alors, si c’est vrai, à quoi tient cette sensation d’arriver reposé à destination à bord d’une électrique ? En fait, il s’agit d’une somme de signaux faibles, qui, mis bout à bout, contribuent à un surcroit de confort. De fait, les voitures électriques peuvent contribuer à réduire la fatigue au volant grâce à leur confort de conduite. Elles sont en effet généralement plus silencieuses et plus fluides que les voitures thermiques. Cela permet aux conducteurs de se détendre et de se concentrer sur la route.
Rappelons que la fatigue est l’une des principales causes d’accidents de la route. Selon l’Observatoire National Interministériel de la Sécurité Routière (ONISR), elle est responsable de près d’un tiers des accidents mortels en France.
Quels sont ces signaux faibles ? Voici les 5 principaux, mais la liste n’est certainement pas exhaustive.
Le silence de fonctionnement des moteurs
Les moteurs des voitures électriques n’émettent quasiment aucun bruit. Seule une accélération furieuse déclenchera – selon les modèles – un léger sifflement ou bourdonnement à très haut régime, mais ce cas d’usage reste de toute façon rare. Le reste du temps, c’est silence radio. Attention, nous parlons bien du silence des moteurs. Car nous n’oublions pas que dans le fonctionnement d’une automobile en mouvement, d’autres bruits interviennent, principalement les bruits de roulement et de frottement de l’air. Sur ces deux derniers, pas de différence notable entre électrique et thermique. Voire même un petit désavantage pour certaines électriques, qui, dans leur chasse aux kilos superflus, sacrifient quelque peu l’isolation. Quant aux bruits de roulement, qui peuvent être amplifiés par le poids supérieur des voitures électriques, de nombreux manufacturiers se penchent sur la question pour fournir de nouveaux pneus à la bande de roulement plus silencieuse.
Et l’AVAS, me direz-vous ? Oui, le dispositif sonore obligatoire (depuis juillet 2019) qui consiste à contraindre les véhicules électriques et thermiques à émettre un son artificiel en-dessous de 20 km/h afin qu’ils soient entendus des piétons peut s’avérer bruyant. Mais cela relève davantage d’un choix marketing des constructeurs qui tiennent à leur identité sonore. Et c’est parfois très réussi, et de toute façon désactivable au-delà de 20 km/h.
Autre source de silence, l’absence fréquente d’arbre de transmission. Les moteurs étant généralement directement installés sur les trains roulants, les voitures électriques, même avec 4 roues motrices, se passent de transmission, ce qui réduit un bourdonnement certes subliminal, mais présent dans l’habitacle. De ces sons que vous n’identifiez pas vraiment, mais qui existent.
Avantage à l’électrique, donc, surtout quand on sait les ravages et la fatigue que peut produire la pollution sonore.
Moins de vibrations
Avec le silence, c’est certainement ce qui surprend le plus quand on monte pour la première fois à bord d’une voiture électrique. A tel point que c’est même un peu déroutant du fait que l’absence de vibrations génère une perte de repères. En effet, avec le son du moteur, les vibrations sont l’autre élément dynamique qui vous indique que le moteur tourne. Alors certes, là encore, les thermiques modernes filtrent étonnamment bien les vibrations, mais on est loin de la quiétude absolue d’une électrique, notamment à l’arrêt.
La conduite à une pédale
Alors ça c’est vraiment une révélation, et une caractéristique absolument unique des voitures électriques. Selon la puissance du moteur et de la régénération énergétique au lever de pied, après une petite période d’apprentissage, une voiture électrique peut se contrôler quasiment exclusivement du pied droit, sans jamais freiner. Seuls les freinages d’urgence demanderont d’enfoncer la pédale du milieu. Ce nouveau type de conduite contribue énormément à la zénitude de l’électrique. C’est peut-être même l’élément le plus important avec le silence de fonctionnement. Quiconque aura connu des crampes au mollet droit après quelques dizaines de kilomètres en accordéon dans un bouchon ou dans une succession de ralentisseurs et de ronds-points dont notre beau pays est champion du monde comprendra de quoi nous parlons. En électrique, ce genre de désagrément c’est finito.
Pas de boîte de vitesses
Certes, nombre de thermiques sont désormais équipées de boites de vitesses automatiques, mais il reste quand même une boîte, avec généralement 7 rapports qui s’égrènent de haut en bas au fil de la conduite. C’est sympa, ça peut même fournir quelques frissons lors de belles montées en régime, avec ou sans palettes au volant, mais à la longue c’est également un facteur de fatigue, notamment les rétrogradages, a fortiori si la boîte n’est pas très bien étagée, ce qui peut provoquer d’inconvenants à-coups dans la transmission. Et dans les fesses. Avec l’électrique, que l’on accélère ou que l’on lève le pied, tout est linéaire et « sans coutures », bref, ça repose.
L’absence de latence à l’appui de l’accélérateur
Ce chapitre rejoint le précédent. Pas de boite de vitesses signifie zéro latence à l’accélération. C’est d’ailleurs, avec le couple instantané, l’une des raisons qui contribuent au fait que l’accélération d’une électrique, même de puissance modeste, est imbattable sur les premiers mètres (et sur les premières centaines de mètres avec les plus puissantes). En fait, comme vous conduisez d’un seul pied et que le jus arrive immédiatement, vous avez cette sensation que votre cerveau est directement relié au(x) moteur(s), sans aucun intermédiaire. Non seulement c’est extrêmement relaxant, mais c’est de plus un élément incontestable de sécurité, notamment dans les dépassements.
Voilà pour les 5 principales raisons qui contribuent à rendre les trajets en électrique moins stressants, moins fatigants. Ce à quoi on pourrait ajouter également d’autres points, comme le fait qu’une électrique ne chauffe pas, ou en tout cas n’émet que très peu de calories, ou encore le fait que l’on n’ait plus à se coltiner les arrêts en station-service qui sont généralement l’un des moments les plus désagréables des voyages en thermique. Certes, il faut s’arrêter pour recharger, mais c’est du temps masqué, et tous ceux qui roulent en électrique vous diront que c’est généralement un bon moment, qui contribue lui aussi à la zénitude du voyage, à condition que tout se passe bien évidemment, ce qui est en train de devenir la norme. Et puis en électrique, on roule aussi parfois moins vite, et sur des temps plus courts, donc forcément, moins de stress et de fatigue.
Allez je vous laisse, j’ai un hamac à régler.
Perso je suis en desaccord total avec l’idée vehiculée dans cet article. Je trouve moins reposants les voyages en electrique perso, je suis vraiment de cet avis. Faut dire que j’ai un vehicule avec une petite autonomie aussi (340km wltp). Mon point de vue serait certainement different avec 600km wltp. Mais je vais vous donner les exemples concrets qui me gênent et qui sont aussi a prendre en compte pour juger de la question alors qu’on en parle jamais j’ai l’impression. Pourtant ils peuvent etre nombreux quand on s’y arrete.
1 Deja avec une petite autonomie (ou pas) on est OBLIGÉ de prevoir les arrets recharge à l’avance, ce qui enleve de la tranquilité d’esprit. En thermique rien besoin de prevoir ou de se casser la tete juste pour se deplacer, on sait qu’on aura ce qu’il faut quand on en aura besoin et que la reserve nous permet d’aller loin. Donc on est tranquille car on sait que l’energie n’est pas un probleme, là où la recharge electrique est au contraire un probleme, a tel point qu’il faut la prevoir a l’avance et faire des calculs limite d’ingenieur (entre les arrets sur le trajet, a destination, en etape…ca fait beaucoup a calculer et a prevoir d’avance). Donc la necessité de calculer a l’avance son trajet et de prevoir comment se deplacer et où s’arreter…c’est penible. C’est pas naturel, ni instinctif et donc pas tranquillisant du tout. Et encore ce serait pour 1 ou 2 arrets bon ok….mais souvent il faut prevoir 4-5-6 arrets a l’avance. C’est vraiment penible et tout sauf reposant.
2 Bon nombre de vehicules n’integrent pas encore la planification des arrets recharge dans leur planificateur d’itineraire. Autrement dit on doit tout decider manuellement avec une appli type abrp ou chargemap. Ce qui implique de trouver soi meme les arrets recharge, ce qui est laborieux et pas du tout intuitif. On doit aussi prendre une marge avec les previsions de ces applis qui ne sont pas toujours hyper precises. Si vous avez une petite autonomie, cette marge a prendre est encore plus importante. Et ca faut le savoir sinon vous risquez la mauvaise surprise. Sans compter que les aires ne sont pas toujours visibles dans le systeme de navigation embarqué de votre vehicule. Leur programmation manuelle dans l’itineraire peut donc se reveler etre une vraie tannée exaspérante.
3 En plus de prevoir integralement l’itineraire et les arrets…vous devez aussi verifier l’etat de marche de chaque borne sur laquelle vous comptez vous arreter. Ca doit etre verifié a l’avance aussi, car bon nombre de bornes sont mal entretenues…super ! C’est rassurant et tranquilisant la fiabilité du materiel c’est clair…. A part certains reseaux d’autoroute assez fiables, la France est dotée de bon nombre de bornes de premiere generation mal entretenues, surtout à destination (les fameuses bornes communales, y’en a une seule dans toute la ville, pas sur qu’elle soit disponible ou en etat de marche).
4 Meme en sachant où vous arreter…il ne faut surtout pas louper l’aire d’autoroute ! Si vous etes juste et que vous loupez l’aire d’autoroute vous pouvez tomber en panne. Donc moi perso quand je dois m’arreter sur une aire je suis toujours un peu stressé de la louper, de ne pas la voir ou d’avoir confondu avec une autre (en France le nom des aires est parfois confus, surtout entre les 2 sens de circulation). L’electrique implique un arret obligatoire et imperieux qui peut etre fatal s’il n’est pas realisé, ce qui n’existe pas en thermique. Le stress de rater l’arrêt est donc plus élevé et empeche toute serenité veritable sur le trajet.
5 Meme en ayant dejà passé tous ces obstacles….vous n’etes meme pas sur de trouver une borne disponible sur place. Avec l’augmentation du nombre de VE, les bornes deviennent de moins en moins disponibles. Sans compter ceux qui ne sont pas civilisés et qui rechargent au delà de 80% ou qui se garent devant les bornes alors qu’ils ont une thermique….j’ai deja vu des gens se battre aux bornes. Ce genre d’attitude n’est pas vraiment celle de gens detendus ou reposés….
6 L’electrique ayant une autonomie tres basse….la jauge d’autonomie peut fondre extremement vite. Et je sais pas vous mais moi une jauge qui se vide aussi vite…ça me stresse. Le thermique n’a pas ce probleme là. En electrique on visualise concretement une jauge qui fond litteralement comme neige au soleil, ce qui entraine forcement une dose de stress supplementaire. Quand vous arrivez aux 30-25% de batterie vous ne pouvez litteralement plus decoller votre regard de la jauge, perso je la regarde toutes les 2 minutes quand j’en arrive là, pire encore quand j’arrive aux 15%. C’est affreux.
7 Quand vous avez des gosses…c’est pas evident. Vous connaissez tous le fameux « on est arrivés ? » ou sa variante « quand est ce qu’on arrive ? ». Bah en electrique, comme les trajets sont rallongés…c’est pire ! Bien que les enfants puissent davantage se defouler lors des arrets, leur impatience augmente avec la duree totale du trajet qui se rallonge. D’autant que beaucoup sont impatients deja de base d’aller a la mer, ou en camping. Le trajet ils s’en foutent, ce n’est qu’un obstacle entre eux et ce qu’ils veulent. Rallonger le temps de trajet est donc loin d’etre anodin. Et ça peut etre semblable pour les adultes qui peuvent aussi considerer le temps de trajet comme un obstacle entre eux et l’objet de leurs desirs (des vacances qu’ils ont attendu toute l’annee par exemple).
8 Quand vous voyagez en famille ou entre amis à plusieurs voitures…là aussi c’est compliqué. Si les autres ont une thermique ou bien une electrique qui n’a pas la meme autonomie, c’est un soucis car vous ne pouvez pas vous arreter aux memes endroits. Et si vous etes plus lent, les autres ralent.
9 Enfin si vos compagnons de route comme votre conjoint n’a pas la meme conception du voyage que vous et n’aime pas le fait de devoir s’arreter toutes les heures sur la route et veut arriver le plus vite possible a destination pour profiter…le voyage peut etre source de tensions.
Voilà, les situations et sensibilités seront differentes en fonction des gens mais aussi des vehicules bien entendu, certains qui ont une tm3 long range ne comprendront certainement pas ma vision des choses. Mais il ne faut pas croire que l’electrique est fait pour tout le monde ou vraiment simple d’usage. Il faut le bon vehicule et meme là tout le monde n’aura pas la patience de supporter les inconvenients de cette technologie. Pour ca il faudra vraiment que l’autonomie augmente et que les solutions de recharge soient bien plus fiables.
La notion de « pédale du milieu » c’est un peu dépassé non :D
C’est surtout reposant dans les bouchons de laisser la voiture conduire d’elle même.
Elle accélère toute seule, freine quand la voiture d’en face s’arrête, garde la distance de sécurité et reste sur sa voie.
C’est bien car l’article a tout FAUX. Un 0 pointé, incroyable.
Une Zoé est bien plus désagréable qu’une Classe C.
La véritable raison de « Pourquoi les électromobilistes ne sont pas fatigués » est pourtant simple, c’est même marteler sur la radio et la TV.
——- 1 pause de 15 min après 2 heures de route ————-
Sécurité routière. Recommandation qui date de 2004 et basée sur des études scientifiques très sérieuses sur le sujet.
Le lien entre ça et les voitures électriques semble évident : très peu de VE sont capables de tenir 2h sur autoroute.
CQFD
De 2011 à 2021 j’étais en hybride, mais ce n’était qu’un apéro… La Tesla est bien plus reposante. J’ajouterais à ces 5 arguments bien décrits un autre: je ne roule plus à 135 compteur mais à environ 120/125, vu que le peu de temps gagné se perd à la recharge. Et je suis beaucoup moins tendu à cette vitesse. Ce n’est plus la moyenne de vitesse que je regarde mais la conso, jouer à battre ses propres records du genre moins de 13 kwh/100 sur autoroute est amusant et utile. Le plus gênant c’est pour les autres qui du coup doivent vous doubler.
Quand je suis passé à l’électrique avec ma TM3 propulsion, je me suis dit que j’avais fait le bon choix. Même si je trouvais la portée sur autoroute un peu faible 250km en hiver et 300 en été, j’en étais très content. J’ai vendu ma voiture et je suis passé au Model Y toujours de base. Là, j’ai trouvé l’équilibre presque parfait.
60Kwh de batterie, une conso à peine supérieure à la model 3, un meilleur confort et du coup des arrêts entre 300 et 400km soit 2h30 à 3h30 de conduite. Avec les automatismes, c’est la bonne durée de conduite sans être fatigué ni stressé, ma vessie tient le coup et je ne vois quasiment plus d’écart avec une thermique en dehors du coût financier et du repos.
Seuls ceux qui n’ont jamais voyagé en VE ne peuvent comprendre. Comme pour 98% des conducteurs, essayer une VE (une vraie qui soit efficace) c’est l’adopter.
En première position je mettrais l’absence de rétrogradage… vraiment pénible ce moteur thermique qui hurle pour à peine freiner le véhicule… Coursier pour un laboratoire d’analyses médicales, deux ans que j’essaie de convaincre mon employeur pour qu’il fasse des économies et me procure un VE. En plus je sais de quoi je parle, j’en ai un depuis plus de 7 ans… C’est déprimant et Fatiguant !
Perso ce que j’aime c’est les recharges. C’est bizarre pour certains mais rouler 5h de suite, enchainer 700km sans s’arrêter c’était pour moi la garantie d’arriver fatigué. Plus vite mais vraiment fatigué
Maintenant rouler 2h30 entre 2 charges c’est le max et arriver en pleine forme à ma destination c’est top
Je vous rejoins complètement sur le one-pedal-drive et cela devient presque qu’un je de ne pas devoir utiliser la pédale de frein. Je me surpends aussi à préférer les petites routes aux autoroutes en évitant ainsi les bruits de roulement et de vent à haute vitesse et tout en profitant du couple moteur. Et quand je je pratique les longues distances, j’amuse mes interlocuteurs en leurs disant que ces arrêts toutes les 2h30 correspondent maintenant à la taille de ma vessie ;-) J’ajouterais enfin la climatisation qui fonctionne moteur éteint dans les embouteillages, ou sur programmation à l’avance…
Tout est relatif.
L’absence de bruit moteur incite à regarder plus souvent le compteur de vitesse, sous peine de risque de perte de point. Chose que l’on fait plus rarement, avec le bruit de son moteur avec l’habitude. Quant à l’aspect reposant, je trouve que nos VP modernes le sont déjà plus ou moins, selon le segment. Pour le reste, oui le VE garde l’avantage dans le yoyo des bouchons des agglomérations, son lieu de prédilection.
L’utilisation de la régénération à la décélération oblige à anticiper les freinages et donc relâche la concentration lié au freinage. Cela participe au confort d’utilisation et donc la zénitude qui en découle.
j’ai également constaté que malgré une grosse autonomie supérieure à la moyenne ma conduite en générale est plus coulée en respectant les limitations de vitesse sur autoroute et surtout sur les routes secondaires car je cherche inconsciemment à maximiser mon autonomie; c’était un jeu au début et finalement cela est devenu une habitude. Pour préciser je ne suis pas un fanatique de l’éco conduite.
sur long trajet l’obligation de s’arrêter « plus souvent » pour recharger en comparaison d’une thermique joue aussi sur la fatigue générale.
Et il y a un cas particulier ou l’électrique avec la conduite à une pédale est au top : les routes de montagne !
En montée, pas d’effort, pas de changement de vitesse pour relancer, pas de soucis à chaque lacet à faire cracher la fumée.
En descente, idem, pas besoin d’écraser les freins avant chaque virage, juste contrôler sa descente du bout du pied… Et on est en bas, en ayant regagné une partie des % de batterie perdus en montant, et sans avoir poncé les freins.
😍
en quoi c’est finito?
En one pédale, j’imagine que si il y a une régénération au lâcher de pédale alors la voiture ralenti plus ou moins fortement. Par conséquent il faut maintenir le pied sur la pédale car on n’a pas de roue libre
N’ayant jamais essayé le one pédale cette question m’intrigue fortement car sur un 3008 hybride première génération, le frein « moteur » est tellement fort que dans une pente on doit accélérer, donc on garde le pied sur la pédale ce qui fatigue…
Lorsque je conduisait une thermique j’étais coutumier du 900km avec 1 arrêt voir pas du tout. J’arrivais à destination avec un certain niveau de stress, des yeux fatigués, cerné et rouge.
Je dois dire que les arrêts forcés tous les 250 km me font du bien, j’arrive désormais plus reposé à destination et la petite famille contente de pouvoir se dégourdir les jambes plus souvent.
C’est ça rouler en VE.
Article reposant ;-)
C’est tellement vrai ! et il faut un petit moment pour l’appréhender.
Ce n’est pas sur un essai d’une demi heure qu’on peut atteindre vraiment cette zénitude de conduite. Un conducteur de thermique qui essai un Vehicule électrique voit généralement ses repères changer brutalement ce qui peut même créer du stress au début.
Rien à ajouter, je suis d’accord avec M Dupin.
Le VE, l’essayer c’est l’adopter.
Dèjà un mois , très content de ma Tesla, même si j’oublie pas mon E-GOLF que j’adore.
Mais je reconnais que les sensations au volant de cette Tesla DUAL MOTOR sont vraiment grisantes.
j’ai lu l’article car je vois souvent cet argument revenir : le VE est plus reposant que le VT. Je ne suis pas déçu : vous aviez sans doute un vieux tacot avant de passer à l’électrique !
Le seul argument qui sort du lot, c’est le one pédale. Pour tout le reste, une VT moderne (la mienne à tout de même 5 ans) fait aussi bien :