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La Tesla Model S Plaid sera bientôt une réalité en Europe, comme l’affirment les premiers clients du continent.
Déjà lancée sur ses terres natales, la nouvelle Tesla Model S se fait désirer en Europe. Après avoir allongé les délais de livraison, la marque américaine a finalement abandonné toute forme de promesse. Certains clients ont fait le choix d’un autre modèle, d’autres ont patienté. Mais l’attente toucherait à sa fin.
À lire aussi Essai Tesla Model S Plaid : allez tous vous coucher !C’est ce qu’ont révélé deux détenteurs d’un bon de commande sur Twitter, et relayé par les spécialistes de Teslarati. D’après eux et des captures d’écran sans équivoque, Tesla a commencé à prendre contact avec les clients de la Model S Plaid en Europe. Ce mail leur demande ainsi de finaliser leur commande en renseignant les dernières informations et les informe que la livraison est proche.
Mail about #Tesla Model S Plaid deliveries in Sweden started rolling out this weekend!
(Not mine)
Does that mean Tesla gonna export S/X to Europe under Q3?@TroyTeslike @alex_avoigt @WholeMarsBlog ? pic.twitter.com/BkG4yObzdh— Nicklas 🇸🇪🚗T🐂📈🍀♻️🚀 (@NicklasNilsso14) July 31, 2022
Les premières livraisons de la Tesla Model S Plaid en 2023
Depuis, la marque de Palo Alto a annoncé officiellement la nouvelle : la Model S Plaid ainsi que le Model X du même tonneau arriveront sur le Vieux Continent début 2023. Il est désormais possible de réserver un exemplaire, avant d’accéder à la commande ultérieurement. Il faudra alors signer un chèque de 138 990 € avec la berline et 141 990 € avec le SUV.
Les deux véhicules reprendront toutes les dernières innovations de la marque, que nous avons déjà pu découvrir avec nos essais exclusifs sur leur terre natale. De plus, on pourra aussi retrouver l’écran central pivotable électriquement vers le conducteur ou le passager. Rappelons que les deux véhicules sont équipés de trois moteurs pour une puissance totale de 1 020 ch.
yes, le 29 février, a priori !
Je lis vos commentaires et en particulier ceux qui sont dégoûtés de l’existence de la nouvelle modèle S plaid.
Rendons à César ce qui appartient à César :
La modèle S est la deuxième voiture de Tesla ; celle qui devait permettre le développement de la modèle 3 « mass market »
Le succès de cette voiture (S) est issu des performances supérieures aux modèles thermique du moment.
Portée aux nues depuis 10 ans, sa réputation de « supérieur aux thermique » ne peux pas être étouffée par une mise à jour ne remettant pas les pendules à l’heure.
Nous voilà donc devant la mise à jour de ce modèle, particulièrement au niveau performances sportives qui re-lance la compétition de « Ckika » la plus grosse, appuyé par des options de luxe supplémentaires pour enfoncer le clou.
Si je peux me permettre de rassurer ceux qui ne l’aime pas, il ne seront pas obligé de l’acheter.
Mais force est de constater depuis 2006 que sans Tesla, aucun constructeur n’aurait lancé de modèle électrique.
Chacun pourra penser que cette voiture est odieuse mais elle a permis le développement (montée en puissance) des Zoé et autre Leaf pour commencer ; il faut lui reconnaître ça.
Une information intéressante pour observer l’évolution du marché sur les quelques années à venir, avec en points clefs :
Rester ou non le summum de la voiture électrique élitiste, sur les seules performances ? (c’est peut être oui aux US, à voir ailleurs).
L’impact de l’absence, nous sommes passés de l’extraordinaire au comparable: le temps d’incertitude a-t-il été consacré à améliorer le produit ? (qui fait maintenant face à des pointures du haut de gamme)
La mentalité de la fan base, face à l’ouverture des superchargeurs, qui diminue l’effet de snobisme, (ou d’exclusivité) à ce niveau de prix.
Mais surtout le véritable problème va concerner la relation client, l’acheteur ne faisant plus partie du groupe pionnier, naturellement engagé et permissif (et pour certains hallucinés…). La compétition se fera sur des critères rationnels, les qualités intrinsèques du produit et du service.
la démonstration finale que la voiture électrique citadine qui se traine n’était pas la bonne approche pour populariser les VE.
Ca restera la force d’Elon Musk. Il a compris qu’on ne pouvait pas pousser le marché à se convertir en faisant des Zoe. Et que les constructeurs de pétrolettes en agissant de la sorte, cherchaient surtout à retarder l’avènement de la mobilité soutenable ou écomobilité, pour continuer à vendre le plus longtemps possible des pétrolettes.
Rien que pour ça, on peut saluer l’arrivée de cette berline aux performances de lamborghini !