Lors d’une interview, Ségolène Royal a expliqué qu’elle souhaitait soutenir la voiture électrique et a abordé l’avenir de MIA.
Lors d’une interview, Ségolène Royal a expliqué qu’elle souhaitait soutenir la voiture électrique et a abordé l’avenir de MIA.
Voici ce qu’elle confiait à Centre Presse lors d’une interview à propos de ses nouvelles fonctions et de l’avenir de MIA :
« Je vais regarder, ça c’est sûr, et notamment voir comment je peux encourager la voiture électrique. Parce qu’il y a des grands discours sur la pollution de l’air mais de l’autre côté, pas beaucoup d’efforts pour développer la voiture électrique. C’est une contradiction que je veux résoudre. Là, l’entreprise attend des repreneurs, il y a des pistes intéressantes, évidemment avec les batteries Bolloré qui sont des batteries qui durent beaucoup plus longtemps que les batteries actuelles de Mia Electric… Il va peut-être y avoir des partenariats industriels. Ce qu’a mis la région, 5 millions d’euros a été plus que remboursé depuis que l’entreprise a été maintenue, elle a quand même versé 25 millions de salaires qui sont retombés sur le territoire en pouvoir d’achat, en familles qui n’étaient pas au chômage. Je considère que l’investissement est déjà plus que compensé. Mais je veux que cette entreprise perdure parce qu’elle a vraiment un très joli produit, une voiture avant-gardiste qui mérite de réussir. Il y a un gros problème, c’est qu’il n’y a pas suffisamment de bornes électriques donc les gens ne sont pas très sécurisés lorsqu’ils achètent une voiture électrique alors que le coût c’est quand même un euro aux 100 km. Quand les gens en ont une, ils ne peuvent plus s’en passer ! »
Vous pouvez retrouver l’interview dans son intégralité (elle porte sur d’autres sujets également) :
Source : Centre Presse
Bon sinon ? coté mia ? des news ?
Car Renault prend tellement d’espace (même ici !) qu’il est difficile de voir les « petits ».
Merci Sego, j’ai jamais vote pour toi mais la +1 !!
Renault avec Nissan (qui sont le même groupe) est certainement le constructeurs généraliste qui vend le plus de VE et c’est encore plus vrai par rapport a ses ventes globales.
On peut donc difficilement dire « que s’ils ne voulaient pas vendre de VE, ils ne s’y prendraient pas autrement, et que c’est particulièrement vrai pour Renault ».
Après s’il est vrai que l’entretient et réparation représente une manne, non pas pour les constructeurs mais pour les concessionnaires et garagistes, il n’en demeure pas moins que si la révolution se fait sans eux, ca sera bien pire pour eux. Car soit ils évoluent et accompagnent le mouvement soit ils disparaissent, tous comme ceux qui n’ont pas vue venir (ou qui n’y ont pas cru) la révolution numérique dans la photo.
Par contre il est clair que ce n’est pas simple pour eux, a terme une voiture électrique c’est 30% de pièces, d’usinages et donc de main d’oeuvre en moins.
Il est clair aussi qu’aujourd’hui il n’est pas facile de vendre VE, le VE a globalement mauvaise presse dans les media automobile (parfois non sans raisons) et les gens son méfiant devant la nouveauté et le changement, pourquoi acheter une voiture qui a une centaine de kilomètres d’autonomie et qu’il faut huit heures pour faire le plein, alors que pour le même prix, voir beaucoup moins chère je peux en avoir une qui en a mille et dont je fais le plein en cinq minutes?
Renault avec Nissan (qui sont le même groupe) est certainement le constructeurs généraliste qui vend le plus de VE et c’est encore plus vrai par rapport a ses ventes globales.
On peut donc difficilement dire « que s’ils ne voulaient pas vendre de VE, ils ne s’y prendraient pas autrement, et que c’est particulièrement vrai pour Renault ».
Après s’il est vrai que l’entretient et réparation représente une manne, non pas pour les constructeurs mais pour les concessionnaires et garagistes, il n’en demeure pas moins que si la révolution se fait sans eux, ca sera bien pire pour eux. Car soit ils évoluent et accompagnent le mouvement soit ils disparaissent, tous comme ceux qui n’ont pas vue venir (ou qui n’y ont pas cru) la révolution numérique dans la photo.
Par contre il est clair que ce n’est pas simple pour eux, a terme une voiture électrique c’est 30% de pièces, d’usinages et donc de main d’oeuvre en moins.
Il est clair aussi qu’aujourd’hui il n’est pas facile de vendre VE, le VE a globalement mauvaise presse dans les media automobile (parfois non sans raisons) et les gens son méfiant devant la nouveauté et la changement, pourquoi acheter une voiture qui a une centaine de kilomètres d’autonomie et qu’il faut huit heures pour f