
La famille des pick-up électriques aura bientôt un nouveau membre. Et il s’appellera Ram 1500 REV, comme son nom vient de fuiter sur la Toile.
Le Tesla Cybertuck a secoué les autres fabricants américains d’utilitaires, et même réveillé les morts. C’est ainsi qu’est apparu le Hummer by GMC, alors que le Rivian R1T a accéléré son arrivée sur le marché. Le Ford F-150 Lightning est de son côté un succès, mais il devra partager sa part du gâteau avec le Chevrolet Silverado EV. Le prochain RAM est aussi sur des rails, et a désormais un nom.
Comme l’a révélé CarBuzz, le prochain utilitaire du tentaculaire groupe Stellantis portera le nom de Ram 1500 REV. Un badge en référence au Ram Revolution, qui fera ses débuts sous la forme de concept-car au CES de Las Vegas le mois prochain.
Un objectif de 800 km d’autonomie pour le RAM 1500 REV
Si son nom est une référence à la révolution qui se prépare au sein du constructeur, l’acronyme pourrait aussi cacher une technologie à prolongateur d’autonomie, comme l’a déjà confirmé Mike Koval, le patron de la marque américaine. Si le type de générateur qui serait utilisé n’a pas été confirmé, il pourrait entrer en action pour supporter l’effort de l’utilitaire lors du transport de charges lourdes.
C’est ce qui permettrait au RAM 1500 REV d’atteindre les 500 miles (804 km) d’autonomie promis par le constructeur. Soit près du double des meilleurs pick-up électrique outre-Atlantique, dotés de batteries XXL.
Non, l’hybride rechargeable n’est pas une abberation, c’est une solution de transition pour tous ceux qui veulent faire leurs petits trajets du quotidien (80% des déplacements) en 100% VE, mais disposer d’autonomie et/ou de puissance si nécessaire, le tout sans acheter et se trainer des centaines de kilogs de batteries supplémentaires inutiles plus de 80% du temps.
D’ailleurs, c’esst simple : les utilisateurs de PHEV expriment ici généralement leur satisfaction et le témoignage de leur faible consommation de pétrole, ceux qui les critiquent n’en ont généralement de façon manifeste aucune connaissance pratique et même une connaissance théorique des plus anecdotique .
Quand au système REX , j’en étais partisan jusqu’à avoir de l’expérience de la conduite du PHEV : son problème à mon avis, c’est que si l’on n’a pas un moteur avec un fort couple – je ne parle pas de forte puissance – il ne peut fournir suffisament d’énergie via la génératrice pour affronter la montagne ou de fortes charges, il faut à recharger à l’arrêt où avant, sur le plat, et là, ce n’est plus qu’un hybride simple, peu d’intérêt.
Je suis pour le 100% électrique, l’abandon du jus de dinosaure pour les voitures.
Là, ce sont des « trucks », donc orienté utilitaire et transport de charges lourdes, cela peut avoir un sens en attendant les futures batteries à forte densité (moins lourdes/kWh) surtout dans certaines régions des US (ou d’ailleurs) étendues, peu peuplées aux structures de recharge inexistantes. Mais il ne faudrait pas que cela soit une excuse pour ralentir la transition…
Je persiste et signe: