
Si le montant de l’investissement n’est pas encore connu, l’on sait déjà que BMW et Hyundai figurent sur la liste des entreprises qui soutiennent la startup américaine exploitant les recherches sur les batteries de l’université du Colorado installée à Boulder.
Cette opération permet à Ford d’espérer assurer l’avenir de sa feuille de route, récemment révélée, en matière de véhicules électriques et hybrides rechargeables.
La solution développée par Solid Power s’appuie sur une cellule lithium à l’état solide (ou à semi-conducteurs) qui reçoit une anode lithium-métal haute performance associée à une cathode de dernière génération.
Bénéfice premier de cette technologie ? Une capacité énergétique jusqu’à 3 fois plus élevée que celle des habituelles batteries lithium-ion. De quoi augmenter encore l’autonomie des véhicules électriques, ou conserver le même rayon d’action en baissant le poids des engins.
A noter que, comparativement à une cellule lithium-ion à électrolyte liquide, celle à état solide éliminerait le risque d’auto-incendie, ne demanderait pas une gestion thermique compliquée, nécessiterait moins de précautions de manipulation, serait plus facile et moins chère à produire.
Ford qui jouerait au lièvre et à la tortue? J’espere pour eux qui ne se sont pas trompé.si non, Il sont mort?
Ca ressemble furieusement à la batterie solide de Bolloré et ses bluecar qu’il fallait laisser brancher en permanence.
Et en puissance de recharge ???
Le problème, c’est qu’une fois de plus, c’est le « conditionnel » qui est employé !!!
Rien par contre sur le nombre de cycles possible, manifestement le problème sur lequel bute les recherches …
Mais si cela pouvait marcher, cela serait super avec des autonomies de 1000 bornes et pas de recharge à faire en route, et donc pas de longues périodes d’arrêt recharge ni de chargeurs libres, et qui veulent bien fonctionner, à trouver !