Application, carte sans contact, fob… s’il existe de nombreuses façons d’accéder à la Tesla Model 3, ce n’était apparemment pas suffisant pour la hackeuse Amie DD qui a décidé de s’implanter dans le bras la puce électronique du constructeur.
Si elle prévoyait au départ d’intégrer le logiciel du constructeur dans une première puce déjà intégrée dans sa main qui lui permet d’accéder à son site web ou d’ouvrir sa porte d’entrée, la jeune hackeuse a finalement dû ajuster ses plans en raison des protocoles de sécurité du constructeur. Un bon point pour la marque de Palo Alto.
Un deuxième implant
Au final, Amie est partie sur l’idée d’une seconde puce en récupérant celle intégrée à la carte RFID de la voiture. Récupérée après avoir dissous le plastique de la carte avec de l’acétone, la puce a ensuite été encapsulée dans un biopolymère. Intégré à l’avant-bras droit de la jeune femme, l’implant a été mis en place par un institut spécialisé.
Véritable défi pour la jeune femme, ce bio-piratage de la Tesla Model 3 est expliqué dans la vidéo ci-dessous. Attention : âmes sensibles s’abstenir !
pourquoi pas ! comme les animaux, mais c’est le veto qui fait ca :) :)
là, faut arrêter le progrès.
et si elle veut prêter sa voiture?
Pas facile de changer la pile s’il y en a une…par contre impossible de perdre ou de se faire voler la clé 😄a moins d’un car-jacking et la ça devient dangereux..
Ce système existe déjà pour ouvrir des sas de sécurité,alors peut-être que ce sera bientôt courant que de se faire greffer nos clés .
C’est ce qu’on appelle avoir sa voiture dans la peau…😁