Selon plusieurs sources citées par Reuters, le groupe au losange pourrait bientôt prendre une participation au sein de la coentreprise Ionity. Un investissement qui permettrait au réseau de financer de nouveaux déploiements.

Lancé en 2016 par Daimler, BMW et Ford, le consortium Ionity pourrait bientôt gagner deux nouveaux alliés de poids. Selon Reuters, Renault mais aussi le groupe énergétique Shell seraient en pourparlers pour intégrer les membres du consortium. Une arrivée tardive qui succéderait à celle du groupe coréen Hyundai qui a rejoint la coentreprise fin 2020.

Évaluées entre 400 et 500 millions d’euros, les offres sont attendues en juillet. Elles porteraient sur une participation de 20 à 25 %, a rapporté une source à Reuters. Renault, qui tenait aujourd’hui une conférence sur sa stratégie électrique, a refusé de commenter l’information.

Figurant aujourd’hui parmi les principaux opérateurs européens de bornes de recharge rapide, Ionity compte 348 stations en service à travers le continent. 45 autres sont en cours de construction.

À lire aussi Superchargeurs Ionity : pourquoi Volkswagen n’est pas satisfait