
Concept-car datant de 2011 dont la version de série avait été abandonné, la « mini-MINI » serait de nouveaux sur les rails avec l’appui d’un constructeur chinois, et à propulsion électrique.
Après l’éviction d’Harald Krüger, le groupe BMW accélère son électrification. Berline i4, SUV ix3 et iNext, sans parler des hybrides rechargeables. Si les modèles ne manquent pas côté BMW, Mini semble avoir été plus ou moins oublié.
Mais de l’aveu de la marque lors de la présentation de la Cooper SE, l’électrification sera intensive. Suite à la 3 portes classique, elle nous a avoué à demi-mot qu’un second modèle 100% électrique sera intégré à la gamme. Selon Autocar, ce serait la Rocketman, la toute petite citadine dont le concept date de 2011.
L’arlésienne d’Oxford revient à l’actu et serait donc exclusivement à batteries avec une plate-forme venant du groupe chinois Great Wall. La production de la micro-urbaine 3 portes serait planifiée à partir de 2022.
Une anti-Smart germano-chinoise ?
L’idée serait ainsi de venir concurrencer Smart, marque à vocation désormais électrique, et – tiens tiens – à l’appui également chinois. Geely en l’occurrence, qui détient 50% de la filiale de Daimler. La Fortwo et ses 2,70 m devraient toutefois pouvoir dormir tranquille, la Rocketman allant davantage chercher vers les 3,50 m de longueur.
Perso, je la voyais et pensais plus courte cette mini mini.
Harald Kruger n’a pas été évincé, il a seulement annoncé qu’il ne briguerait pas un second mandat. Il reste donc à la tête du groupe jusqu’avril 2020. Ce n’est certainement pas cette annonce qui a pu modifier la stratégie en si peu de temps
Le premier paragraphe de l’article est quand même un peu rock&roll. BMW n’a pas attendu l’éviction de Krüger pour présenter les i4, ix3, etc et la mini électrique a été présentée sur ce site hier, donc pas vraiment oubliée.
Sur une « mini voiture » électrique en version 2 places, la logique veut plutôt de positionner le moteur au niveau du train arrière, permettant un raccourcissement du véhicule, la batterie étant située dans le soubassement, cela permettant d’en diminuer d’autant la longueur, et donc l’encombrement.