Présent au salon de Munich, le constructeur chinois prévoit de renforcer rapidement sa gamme. Sa venue en Europe se fera avec l'installation d'une usine sur place.
Ces dernières semaines, le constructeur chinois Avatr a multiplié les communications autour du marché européen, avec une présence remarquée au salon de Munich ou encore à la Fashion Week de Milan.
Rappelons que cette marque est née d’une coopération entre Changan, CATL et Huawei. Ce dernier n’est toutefois que partenaire technique et ne détient aucune part au capital, partagé entre les deux autres partenaires.
Cette séquence montre des ambitions européennes, et au-delà le début de l’internationalisation des ventes d’Avatr. Dès l’année prochaine, la marque chinoise commencera à proposer ses modèles électriques, le SUV 11 et la berline 12, en Asie du sud-est et au Moyen-Orient.
L’Europe, ce sera finalement pour plus tard. Vraisemblablement pas avant 2026. Mais d’ici là, la gamme sera étendue. On attend à présent un grand monospace, et probablement une berline moins imposante qui se positionnerait face aux BMW i4, aux futures Mercedes EQC et Audi A4, et bien entendu à la Tesla Model 3.
Un débarquement en Europe retardé par rapport à ce que la présence à Munich laissait augurer, mais qui se fera surtout avec une production locale. Avatr compte en effet implanter une usine sur notre continent, et a déjà choisi l’Allemagne. La localisation précise reste néanmoins encore à confirmer. Ce qui pourrait être fait dès l’année prochaine.
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Salaire moyen net France 2524 Euro/mois , net Roumanie 850 Euro/mois , net Chine 900 Euro(équivalent)/mois avec d’énormes dispersions entre 800 Euro net à Wuhan (de triste mémoire), 1400 Euro net à Shenzhen (significatif pour l’Automobile) et 2200 Euro net à Hong Kong (atypique car surtout bancaire). Dès lors la contre-délocalisation d’un “grand” chinois dans un pays de l’UE intégré après 2004-2007 n’est pas si absurde ou incroyable ; après tout, qui avait pris l’initiative en 1999 de moderniser et rentabiliser la production de DACIA (transfert de technologies éprouvées de la génération N-1 de la gamme RENAULT) : Louis Schweitzer ENA 68 (et son bras droit Carlos Ghosn X-Mines 74) Un attelage qui a bien fonctionné autour de la notion de “low-cost” (ce que demande d’ailleurs la majorité de la clientèle loin des délires “geek” couteux).Il serait bon de s’en souvenir pour une gamme d’Autos électriques légères, aérodynamiques, faciles à réparer et à la portée financière du peuple français (12% du revenu net sur 60 mois, soit environ 16000 Euro TTC avant intérêts et assurance du crédit).
Stop stop stop !!!! Cette invasion chinoise commence à se voir….
Il faut arrêter le cheval de Troie avant qu’il ne soit trop tard….
Mais c’est aussi à nos constructeurs à se bouger le fiacre pour être enfin compétitifs… certes, le premier rapport de la CE dévoile enfin que les chinois de jouent pas avec les mêmes armes… une fois de plus, ils trichent et nous la font à l’envers !!!
Et comme les européens sont naïfs et crédules, ils tombent dans le panneau….
Mais il faut arrêter de ne regarder que le bout de son nez et regarder à long terme. Et le long terme, c’est d’arrêter cette hérésie du tout chinois et de relocaliser et retrouver les savoirs faire. D’ailleurs, heureusement, ça a commencé avec de nouvelles usines de batteries, de semi conducteurs, de recyclage de batteries, etc…
C’est pourtant pas compliqué à comprendre !!!!
Ils sont pas courant que produire quelque chose en Europe ca coute un rein ?
Les seules Chinoises qui se vendent se sont celles à bas prix.
Encore un succédané de Tesla. Pas très inspirés, les designers.