La troisième manche du grand prix de Formule E, saison 2016/2017, aura lieu le 18 février sur le circuit de Buenos Aires.
Pour rappel, les deux premières manches ont eu lieu à Hong Kong en octobre et à Marrakech en novembre 2016.
De fait, l’enfant du pays José Maris Lopez (trois fois Champion du Monde WTCC et pilote Toyota pour les 24h du Mans 2017) est particulièrement sous pression. Il sera certes sur ses terres avec ses fans, mais ce sera la première fois qu’il courra sur ce tracé.
Au programme depuis 2015, cette course donne effectivement un avantage pour les autres concurrents déjà présents lors des précédentes saisons.
Débutant dans le monde de la formule E (team DS Virgin), comme il se décrit à le dire, José Maris Lopez tentera d’inscrire son nom au tableau en complément des précédents vainqueurs de ce eGPrix que furent Antonio Félix Da Costa et Sam Bird.
La Formule E en bref
10 écuries et 20 pilotes sont engagés pour cette saison 2016/2017. A l’issue des deux premiers eGPrix, sébastien Buemi est en tête avec 50 points sur Renault e.dams, Lucas Di Grassi est second avec 38 points sur Audi Sport et Nicolas Prost est troisième également sur Renault e.dams avec 24 points.
En classement par équipe Renault e.dams est en tête actuellement avec 74 points, Audi sport ABT et Mahindra sont ex aequo avec 36 points.
La saison 2016/2017 devrait compter douze eGPrix.
ça serait bien que les dates et heures ( Françaises) de diffusionTélé soient données dans l’Article.
Je trouve ça passionnant ces courses de Formule E.
Les véhicules électriques ont beaucoup à gagner à travers ce championnat. Aussi bien en image qu’en efficience!
Le sport est un excellent moteur de développement, et le spectacle est au rendez-vous!
Enfin un commentaire qui …. ne sert à rien. Ne pas commenter ne veut pas dire lire l’article ! la pensée unique c’est fatiguant. Si çà ne vous intéresse pas la formule E et bien vous ne la regarde pas !
Vu le peu de commentaires, il semble que ça n’intéresse pas trop la communauté du véhicule propre. Évidemment on est bien contents que ces bolides soient électriques plutôt que thermiques, pour l’image du VE notamment. Mais conduire un VE tous les jours c’est davantage une expérience reposante, et le conducteur de VE aguerri sera plutôt celui qui touchera le moins sa pédale de frein, même en ville. Rien à voir avec ces courses où conduire est un stress permanentant, où on fonce pour piler juste après. Sans compter le peu d’intérêt de tourner en rond…
En plus je vois pas trop la différence entre une course de F1 pour laquelle on aurait coupé le son de la télé, et une course de Formule-E. Pour que ce soit un peu plus dans « l’esprit VE » on pourrait supprimer le changement de voiture supposé résoudre « le problème de l’autonomie des VE ». Si les conducteurs devaient gérer la vitesse mais aussi la batterie, le spectacle (ou le sport si vous insistez) serait déjà plus proche d’une course de VE. Il faudrait toujours arriver le premier, mais ça supposerait de ne pas tomber en panne de batterie avant la ligne d’arrivée ! À la limite autorisons l’arrêt au stand pour se recharger, les constructeurs comprendront du coup les limites d’une charge à moins de 50 kWh notamment pour les longs trajets, ou ils développeront de nouvelles « batteries » à condensateurs qui sortiront peut-être un jour des circuits, même la solution de facilité qui consisterait à faire un échange de batterie aurait au moins le mérite d’être un peu plus proche de la réalité de la conduite d’un VE même si pour le moment cette solution n’est pas à la mode.