
Avec l’évolution des prix des carburants, les intentions d’achat de voitures électriques sont en nette hausse cette année.
Le Baromètre Énergies 2021 de L’Argus est sorti et met en lumière l’amorce du changement dans l’automobile. La voiture électrique est désormais une option que privilégie près d’un acheteur sur cinq.
Alors que le prix des carburants avoisine désormais les 2 €/litre, cette enquête réalisée auprès de 1 825 personnes montre que le diesel est en grande perte de vitesse. Il recule de 3 % par rapport à l’an dernier.
Essence et E85 en tête
En chute libre depuis 2016, l’essence revient sur le devant de la scène grâce à l’E85. Totalisant 29 % des intentions d’achat, soit 6 points de plus que l’an dernier, le duo essence E85 arrive en tête des résultats, devançant les voitures hybrides qui pointent à la seconde place avec 28 % des intentions d’achat. L’offre hybride est toutefois largement plébiscitée, notamment par ceux qui l’ont déjà choisie. En effet, 78 % des utilisateurs de voitures hybrides veulent acheter une autre hybride ou un véhicule électrique.
Au milieu de cette lutte, c’est l’électrique qui tire son épingle du jeu, avec des intentions d’achat à 17 %, soit trois points de mieux qu’il y a un an. L’autonomie croissante, les prix plus accessibles et l’amélioration des infrastructures contribuent à la popularité de la solution. À l’inverse, l’hydrogène et les voitures au gaz reculent pour ne représenter que 4 et 1 % des intentions d’achat contre 7 et 3 % l’an dernier.
Il faut muscler les pdr’s sur autoroute et nationales. Quand les Français se rendent compte que c’est possible de s’arrêter n’importe où vont acheter des VE comme les Allemands ou les néerlandais.
Pour l’instant ils ont trop peur encore
Ok mais que fait-on concrètement sur le réseau de bornes de rechargé. Pas des promesses mais concrètement, physiquement on voit pas grands choses.
Pendant qu’on débat sur les chiffres de part de marché et de prix des carburants fossile, les ménages les plus modestes font encore les frais des spéculations politique : l’état ne baisse pas la TICPE, et la « France d’en bas » ne peut pas acheter de voitures électrique neuves.
J’espère que le marché de l’occasion permettra vite au plus modestes de pouvoir rouler à autre chose que le jus de dinosaures ; ces gens là ont malheureusement trop contribuè à enrichir les différents lobbies sans scrupules.
L’hydrogène représentait 7% (et représenterait encore 4%) des intentions d’achat?
Ca en dit long sur la fiabilité de ces sondages, il y a loin de la coupe aux lèvres.
Quelques suggestions de corrections :
Dernière phrase du deuxième paragraphe : le Diesel « recule de trois par rapport à l’an dernier ».
Troisième paragraphe : « Totalisant » et non « totalisent ».