
Après une année 2020 très solide pour le marché des voitures électrifiées en France, l’objectif est désormais de franchir un nouveau cap et d’atteindre 15 % de part de marché pour les véhicules électriques et hybrides rechargeables.
Sur un marché automobile fragilisé par la pandémie de Covid-19 qui a frappé le monde dès le mois de mars, les voitures électrifiées ont parfaitement tiré leur épingle du jeu. La progression de 180 % enregistrée par les véhicules électriques et hybrides rechargeables contraste en effet avec la baisse de 25,5 % du marché automobile global. Si bien que la poursuite de cette croissance est attendue l’an prochain.
À lire aussi La voiture électrique passe le cap des 100 000 immatriculations en 2020« [L’année] 2020 a marqué le décollage des immatriculations des véhicules légers électriques et hybrides rechargeables », a expliqué la déléguée générale de l’Avere-France, Cécile Goubet, qui prédit une progression encore plus importante cette année. L’objectif de part de marché pour 2021 est ambitieux, mais il s’inscrit dans la dynamique actuelle.
« [L’année 2021] devrait définitivement voir cette dynamique se renforcer : de 9,5 % de part de marché, ils devraient passer à plus de 15 % en 2021 d’après les prévisions. Preuve en est, s’il en fallait encore une, que les modèles électrifiés rechargeables entrent pleinement dans le paysage automobile français. »
Je préfère voir une part de marché des VE et hybrides qui évolue doucement sur un marché total qui revient au resultat de 2019 plutot que de le voir à 15% sur un marché qui s’effondre comme 2020
je réitère : cessons une fois pour toutes de comptabiliser BEV et PHEV dans une seule catégorie. Je ne vais quand même pas lancer une pétition !
Ça va coincer aux bornes de recharge
L’important n’st pas de viser 15% « d’électrique » en France , mais 12 ou 13 % de BEV, qui EUX ne roulent PLUS au pétrole, mais à l’électricité qui se trouve être largement décarbonée chez nous !
Il faudrait que l’état arrête de tout mélanger, en particulier sous le lobbying intense de Renault et PSA qui sortent en rafale des PHEV (Captur, Kadjar, 308, 3008, 508) au lieu de proposer des version « pur élec », afin de rivaliser aux ID4, Eniacq, TM3 etc
La seule solution serait d’arrêter toute prime aux phev, ainsi que l’absence de déduction de TVS…, mais on en est loin !
L’argent économisé serait utilisé de façon plus pertinente, pour des superchargeurs en grappe, sur les itinéraires dépourvus les moins rentables (axes est/ouest par exemple).