Dévoilé le mois dernier, le nouveau Hyundai Santa Fe livre désormais les secrets et la fiche technique définitive (mais incomplète) de sa motorisation hybride rechargeable.

Modèle emblématique du constructeur coréen, le Hyundai Santa Fe souffle sur ses 20 bougies. C’est aussi l’occasion pour lui de se montrer sous un tout nouveau jour, deux ans après l’arrivée de la quatrième génération. Profondément retouché sur les plans stylistiques et technologiques, le SUV adopte aussi des motorisations hybrides.

Comme a l’accoutumé, la marque coréenne envisage de répondre à toutes les demandes et proposera alors les deux formes d’hybridation existantes. La première version se composera d’une mécanique hybride classique, avec le bloc 1,6 litre T-GDI et un moteur électrique de 60 ch. L’ensemble délivrera alors une puissance totale de 230 ch pour 350 Nm de couple, soit exactement la même fiche technique que le Kia Sorento, son cousin coréen. Les données de consommation de cette version ne sont pas encore connues. En revanche, la batterie de 1,49 kWh pourrait permettre au Santa Fe Hybrid de parcourir près de 5 km à la seule force de son moteur électrique.

265 ch et 50 km d’autonomie pour la version rechargeable

Le Hyundai Sant Fe fera aussi confiance à la technologie hybride rechargeable. Dans ce cas, la propulsion électrique sera confiée à une unité de 91 ch, qui tirera son énergie d’une batterie polymère lithium-Ion d’une capacité de 13,8 kWh. L’ensemble mécanique proposera une puissance totale de 265 ch et 350 Nm de couple, envoyée à la transmission intégrale. Les puissances de recharge et l’autonomie électrique ne sont pas encore connues, mais le Santa Fe pourrait dépasser la barre des 50 kilomètres en mode électrique.

Dans les deux cas, le SUV embarque un bloc thermique remanié et baptisé Smartstream. Le 4 cylindres se dote désormais d’un système de contrôle de débit d’air qui permet d’optimiser la circulation de l’air dans le compartiment moteur. L’arbre à cames est aussi contrôlé pour une meilleure gestion de l’ouverture et la fermeture des soupapes : avec une partie des gaz brûlés envoyés dans la chambre de combustion, le bloc T-GDI peut maîtriser ses émissions de CO2, qui n’ont toutefois pas été communiquées.