Disponible en variantes thermiques et électriques, le SUV urbain Kona complète sa gamme d’une version hybride de 141 chevaux similaire à la Ioniq.
Hyundai poursuit son offensive d’électrification cette année 2019 avec une nouveauté, le Kona hybride. Le SUV citadin de 4,17 mètres, lancé en 2017, s’est imposé comme la troisième force de la gamme du Coréen, avec 6.900 ventes en France. Seulement, trois énergies étaient disponibles jusqu’alors : essence, diesel, et électrique.
Une motorisation rodée
Le Kona hybride vient donc récupérer la motorisation de la berline Ioniq et du Kia Niro. Cumulant 141 chevaux et 264 Nm, il s’équipe du moteur 1,6 litre 105 ch et d’une unité électrique synchrone de 43 (32 kW). La batterie de 1,56 kWh permet quelques hectomètres en électrique mais surtout de baisser la consommation homologuée à 3,9 l/100 km, soit 90 g CO2/km.
Côté style, Hyundai n’a pas modifié l’apparence, hormis le badge « hybrid » sur le hayon. Surprise, l’intérieur en profite pour voler l’écran tactile 10 pouces optionnel de la Ioniq restylée, posé sur la planche de bord. Il dispose d’ailleurs d’une aide à l’éco-conduite, indiquant quand anticiper les décélérations et baisser sa consommation. En configuration de base, le système restera sur une diagonale de 7 pouces, sans GPS mais compatible avec les systèmes Android Auto et Apple Car Play.
Le lancement de ce Hyundai Kona hybride est attendu pour le mois d’août 2019. De plus amples informations concernant la France seront disponibles ce mardi. Nous les inclurons dans une mise à jour de cet article.
Bientôt une version hybride rechargeable ?
Cousin du Kia Niro, existant en électrique et hybride, le Kona pourrait lui emprunter aisément sa motorisation rechargeable. Contacté ce lundi, Hyundai ne confirme pas une telle version, précisant que l’hybride rechargeable est déjà présent sur la Ioniq.
Au moins avec l’électrique, que cela pollue plus ou moins on s’en fou, au moins quand ils mettrons la canne anti pollution du contrôle technique dans le pot d’échappement le verdict sera véhicule non polluant et l’Europe sera contente qu’on achète du véhicule asiatique. Faudra bien, si la voiture n’a plus le droit de rouler et que les réparations coute une blende. On ne vas plus recommencer les conneries d’acheter des voitures au pétrole, elles seront toute interdites un jour proche. Le contrôle technique n’est là que pour obéir à l’Europe pas pour le reste. Que l’électrique soit irradiante gazante ou charbonante on s’en fou.
ils sont marrants ces constructeurs japonnais, ils tiennent vraiment à fabriquer des hybrides (et pas des rechargeables )
quant à la consommation il faut la doubler !
ma première prius hybride consommait presque 2 fois plus .
quant à ma prius rechargeable donnée pour 2,1 L/100 km , elle consommait entre 4 et 6 L.
il faut ajouter que les kms/hr affichés sur leurs véhicules sont minorés de 8 km/hr ;
98 km/hr = 90 km affichés, curieux mais cela permet de faire baisser la conso psychologiquement.
depuis je roule en TM3 et j’en suis ravi de plus en plus.
pour moi c’est une régression.
Une Kona hybride! Excellente initiative Hyundai!
Et me voilà !
« Une extension naturelle »
Un bien beau titre pour une fumante a fiscalisation intégrale!
Par contre la Seat électrique a l’air bien mignonne…
On attend Nichevo !
Bricolage.