
Alors que les ingénieurs de Volkswagen travaillent à un éventuel retour du mythique Combi en électrique, un américain du Massachusetts a transformé son Combi de 1966 en véhicule électro-solaire.
Le Combi semble largement inspirer les inventeurs en tous genres. Après le Combi compatible avec la charge rapide CHAdeMO (voir notre article), voici le Volkswagen Combi électro-solaire.
La conversion a été réalisée par Daniel Theobald, un américain résidant dans le Massachusetts qui a acheté en 2013 ce Combi datant de 1966 avant de l’équiper progressivement. Entre l’achat du véhicule et sa transformation, quelques 30.000 $ ont été investis.
Simplement posés et fixés sur le toit, la vingtaine de panneaux photovoltaïques peuvent laisser penser que le véhicule transporte une large planche. Pour l’inventeur, leur utilisation doit permettre de limiter au maximum la consommation électrique sur le réseau.
Quant à l’autonomie de cet engin original, l’inventeur n’a pas cherché de grandes performances mais juste à pouvoir réaliser ses trajets quotidiens à proximité de son domicile. Selon l’ensoleillement, ce Combi électro-solaire peut parcourir entre 30 et 50 kilomètres.
on dirais le chrysler voyager de rick Moranis dans » cherie j’ ai retreci les gosses »
C’est une excellente idée d’ailleurs on peut l’améliorée avec deux couches supplémentaires qui sortiraient sur chaque coté pour une version mobilhome en camping.
On peut aussi utiliser un système élévateur ciseau pour étendre verticalement un panneau solaire pour plus beaucoup plus de surface photovoltaïque avec un capteur de vent et une rétraction automatique. Éventuellement on peut même adjoindre un déploiement d’éolienne si le vent devient plus fort comme à la côte.
C’est rigolo ce kombi solaire, mais avec le débordement arrière, faut faire attention au stationnement en bataille contre un mur, on risque fort d’y laisser un morceau! Et pour le débordement avant, ça fait un gros aérofrein, bouffeur d’énergie (solaire…) à « haute » vitesse.
Évidemment, toujours la même litanie, ce genre de modification joyeuse est impossible en France, les fonctionnaires de la DRIRE (ou autre nom maintenant) sont armés des formulaires nécessaires pour dissuader toute forme d’innovation, de recyclage intelligent.
en 2009, alors que je participais au rallye électrique et solaire Phébus (entre Barcelone et Toulouse), des Catalans avait installé le même système de panneaux solaires sur un Break VW qui était le véhicule (thermique) d’assistance d’un Vectrix. Les panneaux rechargeait des batteries spécifiques dans le break, et aux étapes/pauses de mi-journées, cette énergie stockée repartait vers le Vectrix pour le recharger. Le Vectrix avait fait le rallye en énergie solaire….