
Actuellement, la Capitale interdit de jour la circulation aux véhicules affichant derrière le pare-brise la vignette Crit’Air 5 et ceux qui n’en ont pas. Dès juillet 2019, les restrictions vont se durcir.
De 8 à 20 heures, et du lundi au vendredi, ne peuvent actuellement pas circuler dans une zone qui s’inscrit à l’intérieur du périphérique parisien, les véhicules particuliers diesel et utilitaires légers euro 2, c’est-à-dire mis en service avant le 1er janvier 2001, ainsi que les poids lourds euros 3, donc immatriculés avant le 1er octobre 2006. Par extension, les modèles plus anciens sont aussi refusés. Ainsi les voitures essence mises en circulation avant le 1er janvier 1997.
A partir du 1er juillet 2019, les restrictions de circulation vont être étendues aux 78 autres communes de la métropole du Grand Paris, c’est-à-dire à toutes celles situées à l’intérieur du périmètre délimité par l’autoroute francilienne A86. Le périphérique parisien et les bois de Vincennes et de Boulogne seront inclus à ce nouveau dispositif auxquels ils échappaient jusqu’alors.
A la même date, le scénario va se durcir dans la Capitale. Les véhicules classés Crit’Air 4 seront compris dans les restrictions de circulation. Concrètement, à Paris, de 8 à 20 heures, et du lundi au vendredi, seront interdits de circulation : les deux-roues, tricycles et quadricycles à moteur mis en circulation avant le 1er juillet 2004, les voitures particulières et les utilitaires diesel immatriculées avant le 1er janvier 2006. S’y ajoutent, aux mêmes horaires, mais 7 jours sur 7, les poids lourds diesel en circulation avant le 1er octobre 2009.
La métropole adoptera courant 2021 les restrictions de circulation sur les véhicules classés Crit’Air 4.
On ne fait que parler pollution véhicules terrestres mais qu’en est-il des avions et navires qui utilisent de plus des carburants détaxés
Selon certains chiffres des cargos et porte-containers utilisant du carburant à haute teneur en soufre pollueraient pour un seul navire autant que 1 millions de voitures
Cette pollution s’arrêterait-elle aux frontières ?
On veut arrêter de chopper dans cancers, des AVC, des bronchites chroniques, du diabète, etc.
En matiére de pollution,un bon exemple serait d’interdire les véhicules et surtout les motos sur « LE TOUR DE FRANCE », de mème pour la caravane qui traverse les villages à petite vitesse.
Les sponsorts sont suffisamment argentés pour que cela soit possible et d’autre part cela ferait une bonne publicité pour le V.E. ,non !!!
Pensez à ce que les cyclistes doivent réspirer avec une moto en basse vitesse à peu de distance d’eux
Pour la GARDE REPUBLIQUAINE ,là cela posera quelques problèmes d’achat de motos électriques , mais pour eux aussi cela plus convenable en pensant aux défilés officiels à très petite vitesse!!!
Enfin l’espoir fait vivre.
Qu’on y soit favorable ou pas, ce genre de restrictions, qui touchent à la liberté de circuler, relèvent des prérogatives de l’Etat, nullement des collectivités locales, du moins dans un pays qui n’est pas sur la voie de la désagrégation.