
Souhaitant se faire une place sur le segment du SUV premium, la marque chinoise lancera son premier modèle dans le courant de l’année.
Elle n’a pas encore sorti un seul modèle et pourtant la start-up chinoise Xiaopeng (ou Xpeng) multiplie les financements. Le dernier en date dépasse les 500 millions d’euros et porte le montant total des investissements reçus par le jeune constructeur à 1.28 milliards d’euros. Une somme colossale qui doit permettre à la jeune pousse chinoise de lancer son premier modèle, un SUV électrique baptisé G3. Animé par une motorisation de 145 kW et 300 Nm et alimenté par une batterie de 47 kWh, celui-ci promet jusqu’à 350 kilomètres d’autonomie en cycle NEDC et autorise une charge à 80 % en 45 minutes grâce au GB/T, le standard chinois pour la charge rapide.
Ne cachant pas son inspiration des modèles de Tesla, la marque entamera la commercialisation du G3 un peu plus tard dans l’année. Vendu entre 32.000 et 38.000 euros, il viendra concurrencer des SUV premiums tels que l’Audi Q3, le Mercedes GLA ou la BMW X1.
L’objectif est aussi de parvenir à marcher sur les plate-bandes de Tesla qui a récemment confirmé l’implantation d’une usine en Chine. Le G3 ne devrait toutefois pas s’opposer à l’actuel Model X. Nettement inférieur en termes de taille, il viendra davantage concurrencer le futur Model Y que la marque californienne souhaite pouvoir lancer à l’horizon 2020.
En Chine, Xiaopeng souhaite à terme pouvoir produire jusqu’à 100.000 voitures électriques par an. Pour l’heure, le constructeur n’a pas donné d’information quant à ses ambitions commerciales en Europe et aux Etats-Unis. A l’instar de la start-up Nio, Xiaopeng pourrait choisir de rester concentré sur la Chine, un marché colossal où l’électromobilité est promise à un bel avenir…
La pâle copie de l’intérieur de la Model S…
Les Allemands n’ont aucun souci à se faire.
encore un suv…
Autant ces designs extérieurs et intérieurs sont totalement aux (mauvais) goûts « chinois » … et pas du tout aux (bons) goûts « chez nous » ! N’est-il pas :-) !!!! Je blague, évidemment et il y a bien de quoi avoir les jetons « chez nous » pour les années à venir, s’ils se mettent à les exporter très prochainement, et à des prix « cassés » ! Car, en plus, pas besoin d’un gros réseau SAV avec des VE à l’entretien courant extrêmement réduit (voir NUL !) et les plus gros soucis qualité se laissant d’abord très facilement résoudre par l’échange direct, pur et simple, de blocs (moteur électrique / électroniques / batteries) sans entrer dans le moindre détail du remplacement/réparation local de composants internes demandant alors trop de dextérité et du grand professionnalisme !