
A part l’exercice de style qui vise à concentrer sur un même véhicule tout le design du futur selon Nissan, l’IMQ embarque différentes technologies peu courantes.
En particulier la solution e-Power déjà présente au Japon sur la majorité des citadines Note et des monospace Serena. Ici, la motorisation électrique, d’une puissance de 250 kW pour un couple maximal de 700 Nm, est alimentée par une batterie d’une faible capacité régulièrement rechargée par un moteur 1,5 l essence suralimenté.
Le bloc thermique n’est pas un simple prolongateur d’autonomie, mais plutôt une sorte de groupe électrogène permanent qui démarre et s’arrête très régulièrement. Couplé à un onduleur, il n’entraîne jamais les roues.
Intérêt d’une telle architecture ? En fonctionnant toujours à régime optimal, le moteur essence bénéficie d’une meilleure efficacité énergétique et de moindres émissions par rapport à une utilisation plus classique dans un véhicule thermique.
Nissan compte lancer en Europe dès 2022 cette architecture de groupes motopropulseurs. « La motorisation e-Power fera partie d’un ensemble de nouvelles technologies qui seront intégrées au cours des trois prochaines années sur les best-sellers de Nissan en Europe », précise le constructeur.
Mais non! Pas une petite batterie! Si le monde tourne trop souvent, il n’y a plus aucun intérêt. Une version à grosse batterie et le moteur en option ?
Ils feraient mieux de nous preparer une citadine electrique, car la Leaf a des soucis a se faire avec son encombrement, ses performances moyennes et toutes les concurrentes qui arrivent ou sont deja la….
Avec une « miniaturisation » du système cela parait une solution qui pourrait se généraliser en attendant que le prix des batteries baisse?
À l’heure où l’autonomie des VE devient enfin décente, j’ai du mal à comprendre cette stratégie. Nissan ferait à mon avis bien mieux de développer son réseau de recharge ou de mette à niveau son réseau existant.
Ils nous réinventent la Volt presque 10 ans plus tard?
Ca optimise le fonctionnement du moteur. Mais on reste sur une source essentiellement thermique. Ca consomme certainement moins qu’une hybride classique, mais probablement plus qu’une hybride rechargeable