
L’année 2020 a été compliquée pour Nikola, qui en paie aujourd’hui le prix. Accusé de ne pas disposer des technologies qu’il vante, le constructeur a subi de lourdes pertes. Depuis le début du scandale, les investisseurs sont nombreux à réduire leur participation.
Malgré des ambitions élevées, Nikola a subi des contrecoups sévères en 2020. La marque a affiché des pertes de 320 millions d’euros sur l’ensemble de l’année. De plus, les accusations de fraudes dont elle a fait l’objet ont conduit son PDG à démissionner.
Dès la fin d’année 2020, ces troubles ont eu pour conséquence un retrait de Bosch. Le géant allemand n’a pas vendu l’ensemble de ses parts, mais celles-ci ne sont désormais que de 4,9 %. Il possédait auparavant 6,4 % du petit constructeur spécialisé dans l’hydrogène.
On apprend que c’est maintenant Hanwha Group qui réduit sa participation. Le groupe coréen a confirmé qu’il prévoit de vendre la moitié de ses parts, pour une valeur d’environ 145 millions d’euros. La négociation pourrait déboucher sur une vente de moins de 50 % des actions qu’il possède.
Si elle a lieu, cette vente se fera entre le 9 juin et le 10 décembre. C’est un nouveau revers pour Nikola, dont la crédibilité mise en doute coûte décidément cher. L’accord passé avec General Motors pour produire le pick-up Badger a lui aussi perdu en importance après ces révélations.
Je ne comprendrai jamais rien au bizness! Maintenant qu’il apparaît criant que tout cela n’est que du vaporware, les actionnaires revendent leurs parts. Mais comment peuvent-ils faire? Pour revendre il faut des acheteurs. Mais qui veut acheter du Nikola maintenant? En toute logique la valeur de l’action devrait tomber à zéro rendant sa revente impossible.
Ce qui me surprends le plus, c’est qu’il y a encore des investisseurs qui laisse des billes dans cette entreprise.
A force de raconter n’importe quoi, il faut bien s’attendre à un retour de bâton.
Pour moi, la techno hydrogène n’a rien a faire dans les transports routier ; les solutions électrique sont bien plus efficace.
On reparle des camions quand Tesla commercialisera son Semi à grande échelle à la fin de cette année (2021)
Et les recharges auront leur solution, quitte à brancher 2 prises de deux stèles pour avoir 500Kw en V3, il ne faudrait qu’une heure pour refaire le plein complet d’une batterie de 500KW (données issues Tesla) pendant les pauses réglementaire des routiers.
Tout ce développement spécifique pour les Semi trouvent déjà leurs solutions technique avec des produits existant ; de la à imaginer que Tesla aura une solution encore plus efficiente, il n’y a pas loin