La Peugeot 308 passe à l’électrique en conservant sa superbe allure et son châssis bien amorti. Mais cette compacte thermique électrifiée manque de watts pour justifier ses prétentions tarifaires.
Présentée en mars 2021, la Peugeot 308 était jusqu’à présent disponible avec des motorisations thermiques et hybrides. La voici désormais en version 100% électrique avec un moteur synchrone à aimants permanents de 156 ch situé à l’avant en porte à faux avec le réducteur de couple. Un moteur alimenté par une « petite » batterie (type NMC Nickel Manganèse Cobalt) d’une capacité de 51 kWh de capacité net pour 54 kWh brut. Cette Peugeot e308 conserve son architecture traditionnelle de voiture thermique avec un châssis basique composé de combinés McPherson à l’avant d’un essieu arrière semi-rigide à barre Panhard. Le gabarit reste le même à savoir 4,36 m de long pour 1,85 m de large et 1,48 m de haut ce qui en fait l’une des plus longues berlines compactes du marché. La Renault Mégane électrique mesure 17 cm de moins et même la grande MG4 reste 7 cm plus courte que la Peugeot.
Grande et petite
Malheureusement l’habitabilité et le coffre ne profitent pas de ces dimensions généreuses. Avec seulement 361 litres de volume de chargement, la Peugeot e308 emporte moins de bagages que ses concurrentes. Le mini logement sous le plancher ne permet de loger qu’un petit câble et il n’y a pas de second coffre à l’avant. On se consolera avec la présence d’une trappe à skis, d’un plancher pas trop creusé et d’un accès assez large. Aux places arrières même déception. Si l’espace suffit pour transporter deux adultes de taille moyenne, la place aux genoux n’est pas immense et le tunnel central pénalise la place du milieu.
Le chic à la française
Faute d’être très spacieuse, la Peugeot e308 soigne sa présentation. Son design très travaillé s’accompagne d’une bonne qualité de fabrication avec une belle peinture, des joints de portes épais et des ajustements de carrosserie réguliers. La finition d’entrée de gamme Allure de notre modèle d’essai reçoit une belle calandre noire, des pourtours de vitres noirs, des vitres arrière surteintées et de belles jantes de 18 pouces. Les optiques à Led avec des feux de routes automatiques très efficaces figurent aussi dans la dotation de base.
A bord, l’ambiance est moderne et chaleureuse. Le mobilier se compose essentiellement de plastiques bien rembourrés avec une sellerie très confortable parée de surpiqures très qualitatives. Si les réglages restent manuels sur cette version Allure, ils s’effectuent rapidement et le passager bénéficie lui aussi d’un ajustement en hauteur de son assise. Dans cette déclinaison électrique, la Peugeot e308 intègre de série des sièges et un volant chauffant. La Peugeot e308 s’illustre aussi par ses nombreux rangements avec de larges bacs de contre porte et une immense boîte à gants. Seul bémol, le chargeur à induction mal placé et peu efficace. Nul besoin dès lors d’opter pour cette option à 350 €.
À lire aussi Vidéo – Peugeot e-3008 : tout ce qu’il faut savoir sur le 3008 électrique à l’autonomie recordCarrée mais pas connectée
Côté multimédia, la Peugeot e308 souffle le chaud et le froid. L’écran numérique est parfaitement intégré à la planche de bord et l’ergonomie de toutes les commandes très bien pensées. Les réglages de climatisation sont intuitifs comme la disposition de tous les menus. La connectivité sans fil pour obtenir Apple Carplay est aussi très appréciable et très fiable. Notons également que l’autoradio de série propose une bonne qualité sonore. L’instrumentation numérique colorée mérite aussi des louanges avec un affichage très lisibles même en plein soleil qui présente le niveau d’autonomie à la fois en kilomètres et en pourcentage.
En revanche, le volant est situé bien trop près des genoux même lorsqu’il est réglé au plus haut avec l’assise au plus bas. Et sa petite taille empêche de voir l’instrumentation sous la branche supérieure. Alors à moins d’aimer conduire avec le volant sur les genoux, la belle instrumentation est totalement illisible. Un défaut majeur qui touche toutes les Peugeot depuis un long moment sans qu’aucune amélioration ne soit jamais apportée. Un grand mystère. Autre bémol, la connectivité très limitée entre le smartphone et sa voiture. L’application permettant de surveiller sa charge ou d’allumer la climatisation avant le départ manque de réactivité comme de fiabilité et nécessite des procédures administratives insupportables pour être installée. Nous n’avons d’ailleurs même pas cherché à tester la fonction de planification proposée sur cette application totalement obsolète.
Aubaine urbaine
Dans sa version Allure, la Peugeot e308 facture son accès main libre 350 €. Il faut toute de même appuyer sur le bouton start en pressant la pédale de frein pour démarrer. Une procédure assez lente qui peut s’avérer stressante lorsqu’on est pressé. La caméra à 360° se montre très efficace mais réclame un lourd investissement de 1200 € dans un pack intégrant l’alarme. Cela dit les larges rétroviseurs et la vitre arrière avec essuie-glace assurent une bonne visibilité périphérique. Le diamètre de braquage de 10,5 m assez court, la direction douce et le bruit très discret de l’avertisseur de piéton s’apprécient beaucoup en usage urbain.
A faible allure, l’amortissement apparaît un poil ferme mais demeure très convenable et encaisse les gros chocs sans taper tandis que la garde au sol se montre assez haute pour ne pas frotter sur les ralentisseurs. Le freinage s’illustre aussi par sa progressivité et son dosage précis mais le freinage régénératif n’est pas très prononcé. Un bouton B permet de renforcer ce « frein moteur » qui s’apparente alors à celui d’un diesel mais ne permet pas d’aller jusqu’à l’arrêt complet du véhicule.
Bien ancrée, mal balancée.
Sur petite route dégradée, la Peugeot e308 séduit toujours par la qualité de son amortissement avec un excellent compromis entre filtrations des chocs et maintien de caisse en virage ou au freinage. Direction et freinage calibrés aux petits oignons donnent toujours autant satisfaction. De la grande cuisine française ! Les mode ECO, NORMAL, SPORT modifient seulement la réponse de l’accélérateur et la climatisation. Seul le mode Sport permet d’exploiter la totalité de la puissance et du couple de 270 Nm qui ne perturbe aucunement les roues avant motrices chaussées d’excellents pneus Michelin ePremacy.
Les performances sont suffisantes dans l’absolue (10,5 s sur le 0-100 km/h) mais s’avèrent nettement moins toniques que chez les concurrentes qui offrent au moins 50 ch de plus. Lorsque le rythme augmente, la Peugeot e308 fait ressentir son poids relativement élevé (1684 kg à vide ou 1759 kg en norme UE) et sa répartition des masses moins favorable que ses concurrentes conçues autour d’une seule motorisation électrique. Le train avant lourdement chargé et l’essieu arrière verrouillé engendrent un comportement assez sous-vireur qui assure une grande stabilité au détriment de l’agilité.
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Sur autoroute, la Peugeot e308 avale les raccords avec délices et semble insensible au vent latéral. Une vraie ventouse qui profite d’un régulateur de vitesse actif très efficace et au fonctionnement limpide. Nous avons surtout apprécié la présence d’un bouton de raccourci pour paramétrer les aides à la conduite (ADAS) qui ne se sont jamais montrées envahissantes. Il faut aussi dire qu’elles sont moins nombreuses que celles des dernières voitures électriques chinoises répondant aux nouvelles normes de sécurité de 2024. La correction de trajectoire figure en série dès la finition Allure et intervient avec une grande délicatesse.
Dommage que le système d’aide au maintien de ligne soit réservée à la version GT moyennant 1000 € en option. Bridée à 170 km/h, la Peugeot e308 évite de se faire flasher pour grand excès de vitesse sur autoroute française mais risque de s’avérer frustrante en Allemagne. L’insonorisation moyenne des bruits d’airs et de roulement n’incite toutefois pas à augmenter l’allure.
La petite batterie de 51 kWh pousse aussi à la modération même si la Peugeot e308 fait preuve d’une belle sobriété. Lors d’un trajet autoroutier d’environ 500 km entre Paris et Le Mans, la consommation moyenne n’a pas dépassé les 21 kWh/100 km et il est possible de se contenter de 19 kWh/100 km sur voie rapide en respectant scrupuleusement les limitations. En usage mixte sur route, comptez sur 17 kWh/100 km. De quoi faire 200 km d’autoroute et 300 km en usage urbain. Un peu court pour les gros rouleurs qui regretteront aussi de ne pas pouvoir tracter de remorque. Seul un porte vélo pourra prendre place derrière le parechoc (charge de 80 kg maxi).
Une recharge assez rapide
Si la puissance de charge maxi de la Peugeot e308, limitée à 100 kW en courant continu (DC), peut sembler faible, la courbe de recharge est assez régulière et la taille modérée de la batterie autorisent un plein de 10-80% en 30 mn ce qui reste acceptable. La puissance du chargeur embarqué de 11 kW, pour se brancher sur des bornes publiques ou une Wallbox en courant alternatif (AC), figure aussi dans la bonne moyenne.
À lire aussi Supertest – Peugeot e-208 (2022) : les consommations, autonomies et performances mesuréesPrix flottants
D’abord affichée à 45 720 €, la Peugeot 308 a baissé ses tarifs en catimini (suite au lancement de la nouvelle Tesla Model 3 restylée) pour s’afficher à 43 900 €. Le configurateur Peugeot affiche même un tarif remisé à 42 590 € hors bonus écologique. Difficile de savoir donc précisément les prix de ce modèle qui sera disponible à partir d’octobre 2023. Mais les chiffres affichés pour l’instant sont proches de ceux de la berline américaine de référence qui offre 280 ch, 60 kWh, deux coffres et un ensemble multimédia bien plus évoluée pour 42 990 €.
Difficile aussi pour la Peugeot de lutter avec la MG4 accessible dès 29 990 € avec une batterie comparable à celle de la Sochalienne et moins de 40 000 € avec une grosse batterie de 77 KWh. Avec le changement de règle pour l’attribution du bonus écologique en 2024, la compacte française parviendra sans doute à être un peu plus compétitive malgré ses batteries d’origine chinoise (CATL). Mais compter sur les aides publiques pour suivre la concurrence n’est pas une solution pérenne.
On aime
- Présentation soignée
- Commandes précises
- Amortissement de qualité
- Consommation modérée
On aime moins
- Prix et poids trop élevés
- Rapport encombrement habitabilité peu favorable
- Connectivité bâclée
- Volant trop bas
- Autonomie retreinte
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Pour l’instant, aucune chance que je signe pour un VE chez Peugeot…et pourtant je suis du signe du Lion ;-)
Finalement il y aura plus de commentaires sur cette auto que d’immatriculation sur les routes.
Je ne recommande pas de thermique d’habitude mais là pour la 308, la version électrique à ce prix avec une polyvalence limitée ne justifie aucunement de s’y intéresser.
Elle n’est pas si mal, cette e-308: efficiente (en tout cas sur voies rapides), confortable, plutôt bien finie, aussi autonome qu’une ID3 58. Son problème, c’est son prix. Elle aurait pu être plus légère aussi, mais certaines de ses concurrentes font pire.
On se consolera, Peugeot reste une référence… dans le domaine des moulins à poivre.
Un nouveau VE qui sur sa partie électrique n’atteint pas ce que la concurrence fait déjà (depuis longtemps pour certains).
Le software n’apporte pas grand chose, c’est moyen.
Sur la partie dynamique, c’est une Peugeot qui n’arrive pas au niveau de… Peugeot ?!
Le prix est délirant et il faut y ajouter des options pour atteindre tant bien que mal une équivalence.
Pourquoi acheter français devient-il un sacerdoce !?
Et elle ne peut pas tracter autre chose que des vélos!
C’est peut-être sur ce « détail » que tout le reste s’écroule. A quoi bon acheter un véhicule avec petit coffre si on ne peut partir en vacances en famille avec un très grand coffre posé sur un essieu supplémentaire?
La fameuse formule « c’est un VE donc ça ne peut pas tracter » me paraissait déjà louche en 2012, mais plus de 10 ans après, bah presque tous les VE récents peuvent tracter.
Même réussir des choses simples et traditionnelles (attelage, instrum lisible dans le volant), ils n’y arrivent pas!
Attention, l’essai est faussé.
« Faible conso » « Direction pas très incisif »
==> Ça vient des pneus e-Primacy !
Ils font des miracles de conso mais c’est une savonnette en contrepartie.
On le voit dans la vidéo que ça glisse facilement en courbe… Même sur du sec… C’est un coup à finir dans le fossé à la première pluie…
J’ai vu la vidéo. Par pitié arrêtez de faire des comparaisons avec la TM3. Quand Tesla sortira une compacte vous pourrez vous lâcher sans modérations.
Cette 308 comme la C4 correspondent a un vrai besoin, deplus le concept petite batterie est le bon. Pas besoin d’accélération de fou ou de vitesse excessive.
Là où il y a le problème le prix le prix et la sécurité sûrement encore une 4 étoiles.
Bref l’auto sera vendu avec des remises a la tête du client par un réseau présent sur le terrain à la force du poignet.
Avec des explications bien louche sur le concept de l’électrique et réussir à fourguer du diesel ou de l’essence…faut bien vivre.
La LOA sera aussi là pour faire les poches des petits et faire la razia sur l’aide de l’état.
Cela va rassurer les clients avec un bon discours paternaliste pour des cruches, vous savez l’electique c’est complexe, nous on est sur le terrain pour faire les niveaux d’huile et les courroies. Ah bon merci alors.
C’est bien d’avoir mis des points « résumé » à la fin, c’est tres utile.
Sinon concernant la e-308 elle ne fait que confirmer l’axe majeur de developpement de Peugeot ces dernieres annees : le style. Tout le reste semble oublié, du prix jusqu’à l’ergonomie et l’usage en situation réelle des voitures. Dommage. Il se peut que la plateforme multi-energies montre là ses limites. Peugeot va devoir choisir à un moment et optimiser l’ergonomie et la technique de ses modeles electriques en faisant le choix fort de la transition. Pour l’instant ils sont dans une forme d’entre-deux, on sent que leur vision n’est pas axée sur la technologie et qu’ils se reposent encore beaucoup sur leurs motorisations thermiques. Esperons que leurs futures plateformes electriques seront à la hauteur. Car pour l’instant leurs modeles electriques ne sont pas au niveau de qualité technique et ergonomique de la concurrence. Le style c’est bien mais il en faudra bien plus sur le long terme.
« Au place arrière » :)
Cette e-308 pèse 50kgs de plus que la Megane mais celle avec la batterie de 40kWh… C’est un modèle de transition mais il peut être amélioré, d’une part en répercutant la baisse du prix des batteries d’autre part en proposant une régénération beaucoup plus forte pour la conduite à une pédale. Peugeot devrait aussi réorganiser la baie moteur pour y aménager un frunk. Bien sûr il ne faudra pas ménager les efforts sur le logiciel… Et enfin le plus facile supprimer ces fausses sorties d’échappement !!!
C’est quand même très drôle de voir Maxime regarder à travers le volant pour voir les compteurs. Des centaines de milliers de gens en Europe roulent en 208/308/408/508/3008/5008 et PERSONNE ne fait cela. Personne ne conduit avec le volant très haut et le siège très bas, à part les testeurs automobiles qui semblent tous avoir été pilotes de rallye. Il faudrait sans doute se mettre au niveau du client lambda pour réaliser vos essais.
Certes l’ergonomie du icockpit est particulière et moins simple qu’un cockpit classique mais regarder à travers le volant d’une Peugeot, c’est caricatural !
Eh beh, ce n’est pas avec ça que je vais pouvoir remplacer ma Leaf 40 Tekna.
5 ans d’écart entre les 2 modèles et à part des vitesses de charge plus rapide, je ne vois aucune amélioration motivante pour acheter français.
OK, la batterie dépasse les 50 kWh, mais la Nissan ne m’a coûté que 31’500€ en 2018.
Carlito, ses marges, ses PureToc, ses BlueHdi en carton et maintenant une e308 au prix rolls royce, lol
On est loin en fonctions d’une Model 3 sortie il y a 5 ans déjà. Et qui consomme 15kwh/100km.
Le monde à l’envers!
L’essai de cette voiture électrique de Manuel Cailliot sur Caradisiac est plutôt positif. Et pourtant il n’a pas la réputation de ménager les VE.
Et ici, cette voiture se fait limite allumer.
Alors que son efficience est plutôt bonne, son confort reconnu, son prix abaissé récemment, sa conception française etc.
Et mettre poids trop élevé dans les défauts alors qu’une ID3 58 kWh pèse 131 kg de plus et ne propose pas une meilleure autonomie, ce n’est absolument pas objectif, Maxime.
Très déçu de cet article.
Ils ont réussi l’exploit de faire une voiture lourde avec une petite batterie…
C’est une batterie au plomb qu’ils ont mis ?
Pourquoi un tunnel ?
Comment ça pas de coffre avant ?
Moteur en dessous,
Batterie en dessous,
Prix au dessus !
Comme déjà dit : « Peugeot a côté de ses pompes »
C’est là qu’on voit les limites d’utiliser un modèle de thermique pour le transformer en électrique. Un capot avant protubérant ne représentant aucun avantage avec un empattement beaucoup trop court (peu d’espace cabine), et au final, une voiture au long gabarit bien peu pratique au quotidien.
Ajoutez à cela un tarif déconnecté de la réalité au vue des prestations (autonomie, vitesse de charge,…). Du Stellantis tout craché en somme.
L’esthétique avant de cette voiture et autres de chez Peugeot me rappelle trop une publicité qui faisait dire à un petit de dix ans « la voiture du futur aura des dents de lion ». Des dents de lion, à led évidemment, voilà qui marquera le futur !
Maxime, tu n’es pas sans savoir que sur ces Peugeot, il faut descendre le volant et regarder les compteurs par dessus et pas au travers du volant comme tu le fais LOL
Cette voiture est une vraie honte pour la production française… Quelle déception et incompréhension aussi sur la politique tarifaire… c’est leur stratégie de prouver, comme Volkswagen que les européens ne veulent pas d’électrique ?
Voiture sympa. Mais le prix devrait etre aux allentours de 30 000 euros.
Pour moi tout est dit !
La Mégane et la MG4 peuvent dormir tranquille.
4,36m de long pour avoir un coffre de Renault Zoé…
En revanche je n’ai pas le même avis sur le petit volant, perso j’adore le feeling qu’il procure et il ne me gène pas du tout.
Au niveau des performances, ça me semble mauvais le 0-100 km/h. Une Zoe R135 fait 9,4s, une e-208 dans les 8s. Peut-être elle tire long pour baisser la conso sur autoroute.
Tavares est toujours à côté de ses pompes, vous essayez ça et une TM3, et devinez quoi…le rapport prix/ équipements est tellement en faveur de la TM3 que vous n’aurez pas le choix.
Si vous voulez l’acheter, n’essayez rien d’autre !
Je suppose qu’ils ont 10 ventes, des clients qui se sont trompé de modèle…
la e-308 est un pétard mouillé.
Il fallait proposer quelque chose pour conforter les actionnaires, et vite reprendre le projet E-3008, c’est chose faite.