
A Paris, Youngo vient de lancer un nouveau service proposant de raccompagner les fêtards de retour de soirée à l’aide d’une flotte de voitures électriques.
Sans alcool, sans risque et sans émissions, la toute jeune start-up Youngo propose de raccompagner les fêtards parisiens à bord d’une flotte de voitures électriques.
Avec pour objectif de lutter contre la problématique de l’alcool au volant, Youngo propose ses services du mercredi au dimanche soir de 22h00 à 06h00, heures auxquelles les jeunes consomment le plus dans les établissements de nuit, avec un tarif unique de 9.99 € la course dans Paris intra-muros.
Pour réserver, il vous suffit de vous connecter sur le site internet de la société ou de télécharger l’application gratuite sur votre mobile. Le paiement s’effectue par un système de recharge de crédits permettant aux parents de créditer directement le compte de leurs enfants avant leurs sorties du week-end.
Leaf et e-NV200 Evalia
Côté véhicules, c’est vers la Nissan Leaf que Youngo a choisi de s’orienter. « Nous avions besoin d’un véhicule électrique 5 places, afin de transporter nos clients confortablement et en toute sécurité. Nous nous sommes naturellement tournés vers la Nissan LEAF. Accueillant aisément quatre passagers avec son habitacle spacieux, elle bénéficie de nombreux équipements de confort et de sécurité. La LEAF s’est imposée comme la solution idéale » explique Dimitri Clairet, Responsable communication de Youngo.
En parallèle, Youngo teste également le Nissan e-NV200 Evalia en vue de renforcer sa flotte.
et sinon par curiosité, il y a beaucoup de parents qui paient la biture de leurs enfants et en plus le taxi pour le retour? Parceque leur donner de l’argent de poche est une chose (on ne sait pas ce qu’ils en font) mais créditer un compte qui paie un taxi spécial jeunes bourrés, là on sait où ça va!!
L’idée est intéressante, mais se pose en concurrent direct des taxis et autres « uber »…
Je reste dubitatif quant à leur business model. Ils vont investir dans une flotte de Leaf qui ne va rouler que quelques demi-nuits par semaine? Le reste du temps, ils font quoi des véhicules… Et des conducteurs? D’accord, ils veulent mettre de la pub sur et dans les véhicules, afin que les jeunes, dans leur demi-coma éthylique, continuent à absorber des messages commerciaux pour dépenser ce qu’il leur reste de sousous des parents, mais ça suffira pas pour équilibrer les comptes de la société.
C’est drôle, ils auraient pus démarrer avec un budget vachement plus faible en utilisant des autolib, sans doute assez disponibles à ces heures-là…
Et les chauffeurs de taxi en disent quoi? De cette concurrence déloyale?