
Avec un an d’avance sur son objectif, Toyota vient de franchir le cap des 50 % de véhicules hybrides vendus en Europe au premier trimestre 2019.
Pour Toyota, ces résultats s’expliquent notamment par le très bon démarrage de la nouvelle Corolla. Remplaçante de l’Auris, la nouvelle berline star du constructeur est le premier modèle du groupe à être décliné en deux motorisations hybrides (122 ou 180 ch). Celles-ci ont représenté 72 % du mix du modèle au premier trimestre.
Parmi les autres « best-sellers » hybrides de la marque nippone figurent le Toyota C-HR (89%), la petite Yaris (55 %) mais aussi le RAV4. Renouvelé en début d’année, le SUV de Toyota réalise a réalisé 71 % de ses ventes en motorisation hybride depuis le début de l’année.
Une diversité de l’offre qui a permis à Toyota de porter ses ventes à 130.300 véhicules hybrides sur les trois premiers mois, soit un mix de 50 % sur l’ensemble du territoire européen. Une part qui grimpe même jusqu’à 59 % en prenant en compte que les pays de l’Europe de l’Ouest.
Total | Hybride | Part hybride | |
Toyota Yaris | 69812 | 38414 | 55.02% |
Toyota Corolla | 37697 | 27077 | 71.83% |
Toyota C-HR | 41709 | 37060 | 88.85% |
Toyota Camry | 10566 | 204 | 1.93% |
Toyota RAV4 | 30527 | 21578 | 70.68% |
Famille Prius | 5959 | – |
71 % de mix-hybride chez Lexus
Aux bons résultats de Toyota s’ajoutent ceux de Lexus. La marque premium, qui a fait de la technologie essence-électrique sa spécialité a écoulé plus de 13.000 voitures hybrides au cours du premier trimestre et atteint un mix de 71 %. En début d’année, Lexus a franchi une nouvelle étape avec l’UX, son premier SUV compact dont la part hybride a atteint 86 %.
En meme temps quand on voit le reste de la gamme , non hybride donc, y a pas de quoi être particulièrement attiré ! Donc présenter le résultat comme un succès c’est juste une facon tres marketing de voir la chose. En terme de ventes globale Toyota Europe ne progresse pas par exemple…avec -3 % sur les 3 premiers mois !
50% on compris que la solution n’est plus au tout thermique, mais ses 50% n’ont pas encore compris que la solution était au tout électrique. Où plutôt que l’on ne leur proposait pas encore de solution électrique abordable chez Toyota.
Toyota s’enferme dans sa solution. Ça à payer, mais cela ne payera plus. Merci Toyota quand même.
Et évidemment toujours sans FAP.
Il n’y a que les activistes de l’hybride activistes de l’autosolisme pour croire que cela pollue moins (ou est moins dangereux) et ainsi justifier l’utilisation d’une voiture en ville. Les mêmes qui deviennent ensuite activistes du VE tout en restant activiste de l’autosolisme et continuent à justifier l’utilisation d’une voiture en ville.
La réalité c’est que ce système n’a aucun intérêt même en ville puisque la voiture n’y a pas sa place.
A ce train là, ils vont disparaître, tout simplement. Pas l’once d’une amélioration technique en plusieurs dizaines d’années. Mauvais signe.
Voilà un constructeur qui a su voir clairement les enjeux environnementaux et industriels, il n’aura pas à acheter à prix d’or des quotas CO 2 à un fabricant de voitures électriques.