Les tests d’autonomie de voitures électriques se cantonnent bien souvent à l’autoroute, mais oublient parfois les petites routes nationales et départementales. Pourtant, ces axes permettent le déplacement de très nombreux automobilistes quotidiennement. Nous avons ainsi souhaité connaître l’autonomie maximale de la Renault Mégane électrique. A t-elle pu atteindre les 438 km WLTP annoncés avant la panne ? La réponse dans notre test !
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Jusqu’où peut aller la Renault Megane électrique avec une seule charge ?
11 Nov 2022 17:16
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On a testé
7 commentaires
1%, il y a encore du rab. tres dur d’etre totalement immobilisé avec cette voiture. Le derating puissance bride progressivement la vitesse, ca dure plus d’un quart d’ heure avant l’immobilisation complete. avec ma zoé 23kwh, meme sur jauge a 0% je fait 6km sans ressentir de bridage consequent. la panne seche est tres differente d’un thermique, elle est plus douce et moins brutale.
Pour répondre à la question dans la vidéo :
Non, pas d’intérêt à utiliser des palettes, je suis toujours en régénération max associé à une ePedal allant jusqu’à l’arrêt en ville (merci pour les plaquettes) comme sur autoroutes. Sur ces dernières : AutoPilot/ePedal et si nécessaire je baisse légèrement ma vitesse selon les conditions pour rester sur une consommation nominal voire inférieure.
Agir sur la vitesse (même parfois de très peu) permet de réduire bien plus sûrement et simplement (pas d’erreur d’appréciation sur le choix optimum du niveau de régénération) l’énergie consommée en gardant sa concentration sur la route.
Après, si l’on veut jouer avec des palettes, chacun est libre et s’adapte à sa façon de conduire.
Mais bien plus que les palettes, en terme d’agrément de conduite (et d’économie) l’un des gros intérêt de rouler en électrique c’est d’avoir une ePedal permettant l’arrêt complet du véhicule. L’expérience de conduite en est transformée, même un 6 cylindres thermique couplé à une excellente boîte automatique ZF à double embrayage n’arrive pas à le reproduire.
On peut comprendre la frustration d’un essai qui ne va pas jusqu’au bout, mais on peut également comprendre de ne pas vouloir se mettre en panne sur voie ouverte pour des raisons évidentes de sécurité.
Terminer l’essai sur un circuit, permettrait de concilier la sécurité et la pertinence du test.
De petit blog, AP semble vouloir se professionnaliser. Si l’essai routier est incontournable, accéder de temps en temps à un circuit peut être une évolution logique pour des essais (reproductibilité des tests, performances (accélération, distance de freinage, …)).
Allé zou ! Concurrencez moi AutoPlus, sans complexe :)
je m’attendais à plus… Sans autoroute et 16°C, avec mon Niro, je dépasse allègrement les 400 km.
D’accord avec les deux commentaires précédents, essai raté puisqu’on ne sait pas à quoi correspond le 0%, arrêt définitif ou bien encore 10, 20, 30 km? Ce n’est pas du tout pareil, on est donc frustrés au vu du titre accrocheur.
L’utilisation des palettes est en effet un plus dans la conduite; j’ai eu un peu de mal au début mais après 1 an, je l’utilise finalement assez régulièrement sur route départementale et nationale et j’utilise plus la e pedal en ville;
au début je pensais que le test avait pour objectif de voir combien de kilomètres sont possibles une fois le zéro est atteint. Cela serait rassurant de connaître cette donnée pour tous les véhicules électrique car potentiellement 20 kms c’est pas négligeable; en plus cela permettrait de tester les assistances de dépannage.
« Jusqu’à la panne » mais vous arrêtez à 1% restant de batterie. Du coup on apprend pas grand chose.
Je pensais que vous aviez fait comme Björn Nyland qui va vraiment jusqu’à la panne, puis recharge avec une batterie transportable. Dans le cas de L’Ariya c’était très instructif.