Cherchant à offrir une seconde vie aux batteries de ses voitures électriques, Renault s’associe à l’entreprise britannique Powervault, spécialisée dans les solutions de stockage domestique.
En Angleterre, Powervault va lancer un test avec 50 unités de stockage dotées des batteries de « seconde vie » fournies par Renault. Ces démonstrateurs seront installés dans des résidences de clients déjà équipées de panneaux solaires et doivent permettre d’évaluer les performances techniques du système avec des batteries issues des véhicules électriques du constructeur au losange. Au delà du stockage de l’énergie solaire produite en journée, les unités Powervault peuvent également se charger automatiquement à l’aide d’une énergie à faible coût, en dehors des heures de pointe.
5 à 10 ans de durée de vie supplémentaire
Pour Powervault, qui souhaite démocratiser le système au Royaume-Uni et qui vient de lancer une campagne de crowd-funding pour lever 2.5 millions d’euros, l’enjeu est de taille car les batteries de seconde vie pourraient lui permettre de réduire de 30 % le coût de son système.
Pour Renault, il s’agit d’optimiser le cycle de vie de ses batteries avant qu’elles ne soient recyclées. Car les batteries utilisées dans les véhicules électriques, qui disposent généralement de 8 à 10 ans de durée de vie, peuvent trouver une seconde utilisation dans les applications stationnaires. Dans un système tel que celui développé par Powervault, la durée de vie supplémentaire pourrait être de 5 à 10 ans selon Renault.
« La seconde vie offre non seulement une période d’utilisation supplémentaire aux batteries des véhicules électriques avant leur recyclage, mais elle permet aussi aux consommateurs d’économiser de l’argent. C’est du gagnant-gagnant-gagnant : pour les propriétaires de véhicules électriques, pour les propriétaires de logement et pour la planète » a souligné Nicolas Schottey, Directeur du Programme Batteries et Infrastructures Véhicules Électriques de Renault.
Au Royaume-Uni, le test mené par Powervault débutera en juillet 2017 et s’étalera sur une année entière.
Personne ne parle emprunte carbone et environnement, pourtant cette seconde vie vient atténuer d’autant l’énergie grise de sa construction. Du tout bon donc !
A ben ça pour une surprise, c’est une surprise… 8)
Si je ne me trompe pas, il est possible de pouvoir charger les Zoé avec du courant continu, donc éventuellement avec des panneaux photovoltaiques, ce qui manque c’est de pouvoir ensuite utiliser la batterie pour fournir le domicile. Nissan le teste au Japon.
L’idéal sera donc de se servir des batteries pendant la 1ère vie et pas plus tard, ou éventuellement.Avec 40 kWh, on doit pouvoir faire de belles choses.
« C’est du gagnant-gagnant-gagnant » je ne crois pas non vu que les batteries sera toujours en location que ce soit dans une voiture ou ailleurs.
C’est Renault qui a dit que les batteries dans un VE ont une durée de vie de 8 à 10 ans ?
« Car les batteries utilisées dans les véhicules électriques, qui disposent généralement de 8 à 10 ans de durée de vie. »
Ne faudrait-il pas mieux dire que la batterie peut être utilisée dans le véhicule tant que sa capacité utile n’est pas descendue sous 80 % et qu’ensuite elle peut être utilisée en stationnaire.
Et ajouter que la première période représente généralement entre 8 et 10 ans (mais est aussi fonction du kilométrage du véhicule).
Du coup ma question est : que fait on de ces batteries une fois leur deuxieme vie achevée ?
Vendues en Angleterre et louées en France ?
Et vlan ! « awaiting moderation » ce qui veut dire que mon post ne passera pas. Si c’est le cas, une fois de plus, je laisse tomber ce site pour abus de « politiquement correct ».
Marre des Renault et de leur ZOE ridicule ! Déjà le nom est un repoussoir, ensuite le tout est une véritable arnaque. Réservé aux employés des communes socialistes.
ou comment capitaliser 2 x les batteries .
finalement tant qu’il y a des « clients « …