
Dans le cadre de son plan 100 % propres d’ici à 2025, la RATP vient de lancer une consultation publique pour l’acquisition de plusieurs centaines de bus électriques.
Etalé sur deux ans, l’appel d’offres représente un potentiel de 1000 bus électriques, dont une tranche ferme de 250 unités. Composé de trois lots, le marché porte sur l’acquisition de bus électrique standard de 12 mètres et représente un investissement global de 400 millions d’euros à travers un financement partagé entre Ile-de-France Mobilités et la RATP. Les premières livraisons « série » de bus électriques liées à cet appel d’offres devraient être effectuées fin 2020.
D’ici à 2025, la RATP espère convertir l’intégralité de sa flotte et cible deux tiers de bus électriques et un tiers de bus fonctionnant au biogaz. Composée de 4700 bus, la flotte actuelle de la RATP compte déjà 800 bus hybrides, 140 bus bioGNV et 74 bus électriques.
La mobilité du futur sera automatisée et ce gros investissement risque d’être rapidement obsolète.
Pourquoi ne pas plutôt attendre que Galileo soit opérationnel en 2020 pour gérer les premières navettes électriques automatisées.
Ces navettes seront plus modernes, plus polyvalentes et plus petites, donc potentiellement omniprésentes, ce qui répond à une forte demande des utilisateurs.
En gros, les bus-mastodontes de la route disparaîtront peu à peu au profit de petites navettes -plus nombreuses- d’environ huit places.
Enfin le cerveau lent des décideurs R: réactivités lentes . A: atypique d’esprits français . T: tristement . P: parisien , issue de leurs visions nombriliste . Depuis 3 ans un industriel français vend de tel bus en Allemagne , à quelque villes seulement et ils ont recharges conventionnel est par induction en fin de lignes , à peine 30/40mn de recharge . Bien entendu les ploucs décideurs locaux s’y mettent alors que la France à vendu de telle engins de marque Renault à la Grèce il y a déjà 40 ans , certes d’ancienne technologies , mais qui roulent encore . Alors avant que l’on voit l’investissement dans l’induction ; les parisiens jeunes seront retraités . Tant qu’au dit bus Renault on n’en na jamais vu en transports public nationaux . Donc on continu depuis 40 ans à prendre les populations urbaines pour des abrutis . On peut supposer donc que les ploucs sont/était grassement corrompus par leurs « amis » du monde pétroliers . Tant qu’aux touristes certains vont rire , car eux ont déjà les matériels en fonctions dans leurs villes lointaines . Et puis la Bourgeoise imbécilocrate , à la tête de la mairie pourra recharger sa Zoé ; elle qui accompagné de ses gorilles , se gare systématiquement sur les arrêts de bus et les passages piétons , dans le mépris des citoyens naïfs qui ont voté pour elle .
Enfin, pourvu qu’il n’y ait pas un grain de sable dans l’opération…
Qu’à qualité « éqiuvalente » on choisisse un modèle assemblé en France me conviendrait parfaitement, d’autant qu’il s’agit de subventions publiques, mais je n’en fais pas préalable, préférant le qualitatif.
D’ici le choix définitif de la marque retenue, les tests en court auront je l’espère pu montrer les défauts éventuels, et j’imagine que le refroidissement et la longévité des batteries sera « garanti », et tant mieux si le matériel proposé par Heuliez est celui retenu .
« 400 millions d’euros » pour « 1000 bus électriques » soit 400 000 € / bus. A titre indicatif un bus de 12 m diesel c’est 240 000 €.
Heuliez vient de signer une vente pour Mulhouse Alsace Agglomération pour 5 bus à 2 715 000 € TTC y compris les stations de recharge soit 543 000 € / bus.
http://www.heuliezbus.com/fr/communiques?id=54