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Il va encore y avoir du changement pour la prime à l’achat d’un véhicule électrique. Avec une bonne nouvelle : elle va augmenter de 1000 € le 1er octobre pour certains modèles.
Décidément, le bonus écologique prend des allures de feuilleton à rebondissements. Les règles ont changé le 1er juillet 2025, avec d’ailleurs la fin… du bonus écologique. En effet, l’aide se nomme désormais « coup de pouce véhicules électriques ». Mais le grand public garde en tête bonus.
Le changement d’appellation correspondait à un changement de financement. Ce n’est plus l’argent de l’Etat qui est utilisé, mais celui des CEE, les Certificats d’Economies d’Energie. L’argent vient des fournisseurs d’énergie, obligés de financer des aides à la transition écologique.
À lire aussiSelon les revenus et la composition du ménage, l’aide depuis le 1er juillet va de 3 100 € à 4 200 €. Une bonne nouvelle, car avant, c’était de 2 000 à 4 000 €. Et ce peut même être un peu plus selon les contrats passés entre les constructeurs et les fournisseurs d’énergie. Chez Renault, on a ainsi depuis le 1er septembre jusqu’à 4 770 €.
Mais voici que l’Etat annonce encore du changement. Et c’est une bonne nouvelle. Le gouvernement a officialisé la mise en place, dès le 1er octobre, d’une prime complémentaire exceptionnelle de 1 000 € à l’achat de véhicules électriques, dès lors qu’ils sont assemblés en Europe et dotés d’une batterie européenne.
L’aide maxi peut ainsi varier de 4 100 à 5 200 €, des minimums garantis si les conditions sont respectées. Outre la production en Europe de la voiture et de la batterie, l’auto doit coûter moins de 47 000 € (hors options) et avoir une masse en ordre de marche sous les 2,4 tonnes. L’Ademe publiera dans les prochains jours la liste des véhicules qui pourront profiter de la surprime.
Pour le gouvernement, le bonus renforcé « vise à favoriser la relocalisation de la chaîne de valeur des véhicules électriques et à soutenir l’emploi industriel sur notre continent. Cette prime permettra de soutenir ces usines dans leur montée en cadence, en incitant les constructeurs à s’approvisionner auprès d’usines européennes ».
Un cadeau qui doit notamment profiter à la France, car plusieurs usines de batteries se sont implantées dans le nord du pays. Celle d’ACC fournit les marques de Stellantis, celle d’Envision doit produire pour Renault.
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