
Elon Musk a fait flamber la Toile depuis hier avec une nouvelle surprenante : le patron songe à quitter ses fonctions.
On ne présente plus Elon Musk, le visionnaire patron de Tesla devenu l’une des personnes les plus riches au monde. À la tête de l’entreprise depuis 2008, le natif de Pretoria, en Afrique du Sud, envisagerait de quitter ses fonctions pour d’autres aventures numériques.
C’est sur Twitter, comme d’habitude, que le patron a mis le feu aux poudres avec une étonnante réflexion : il s’interroge ainsi sur son avenir et précise qu’il songerait à quitter son job actuel pour devenir… un influenceur. Le tout en reprenant les codes de ce monde tout aussi étonnant en demandant l’avis de ses plus de 66 millions de followers.
thinking of quitting my jobs & becoming an influencer full-time wdyt
— Elon Musk (@elonmusk) December 10, 2021
Dans un registre plus sérieux, ce message s’inscrit dans la continuité de l’actualité financière d’Elon Musk, qui est en train de dilapider une bonne partie de ses actions Tesla. Car suite à un sondage sur Twitter où il demandait s’il était judicieux de vendre 10 % de ses actions Tesla, l’homme d’affaires s’est délesté de plus de 11 millions d’actions Tesla.
D’après certains observateurs, la vente de ces actions permettrait à Elon Musk de payer ses impôts. Reste à savoir si le reste sera utilisé pour lancer son éventuelle carrière d’influenceur, qui semble toutefois être un troll en avance sur le 1er avril…
Le problème des « journalistes » d’aujourd’hui , c’est qu’ils pensent , qu’ils croient vraiment que la vie , les projets, les activités, tout est écrit sur les reseaux sociaux.
Alors que moins de 50% des personnes ont un compte sur un réseau social. Et encore, si dans les 50% qui en ont, ils s’en servent comme moi, c’est à dire une fois par mois pour lire les blagues d’elon musk , ca donne une idée de intérêt des médias sociaux comme source d’information à colporter.
Sauf que pour les « journalistes » d’aujourd’hui, l’interet c’est d’avoir sans bouger ,sans investiguer, sans chercher, sans verifier, des informations, de la matiere toute recente , toute fraiche de quelques minutes ou heures, fusse t’elle bidon dans 80% des cas, pour produire des articles putaclic à main levée.
Donc le fond du problème n’est pas tant que les journalistes ne comprennent pas le second degré ou les blagues d’Elon musk, ni qu’ils prennent au pied de la lettre comme des enfants de 5 ans, (ou c’est ce qu’ils font croire, car finalement, la véracité d’une info ils s’en foutent, ils veulent faire du clic et du like, c’est tout) ses gazouillis , mais plutôt que les journalistes d’aujourd’hui ne savent plus faire du … journalisme ! tout simplement.
Voila, à nous donc, lecteurs de faire le tri.
Et je vois dans les commentaires que nombreux sont les lecteurs qui ne se laissent pas avoir par les raccourcis foireux, les conclusions bancales, les comparaisons, rapprochements et déductions erronées des « journalistes ».
Au final , les journalistes se décrédibilisent par, au choix, faineantise (pratique de passer sa journée assis devant les médias sociaux plutôt que de bouger pour aller interviewer les gens en vrai) incapacité professionnelle (bah oui , il existe de mauvais journalistes . comme dans tous les métiers) ou incapacité financiere (les rédactions n’ont plus d’argent parce que les médias sociaux ont récupéré une grosse partie de la manne financière de la publicité).
M’enfin quoiqu’il en soit , Elon Musk fait des blagues dans 95% de ses messages sur les reseaux sociaux, parce que , certainement, c’est ce qu’il pense des réseaux sociaux : des sites internet pour faire des blagues et dire ou montrer des co…neries . Et rien de plus.
Sauf pour les moins bons « journalistes » d’aujourd’hui.
Sûrement depuis qu’il a appris que Mercedes avait l’homologation pour l’autonomie de niv3 au contraire de ses ve pourtant dotés de l’auto pilot
bon c’est en Allemagne pour le moment.
comme quoi ce n’est pas parce que l’ont communique beaucoup que l’ont avance plus vite.
Vous participez au concours du média publiant les analyses les plus lamentables ?
Là on touche le fond…
Musk exerce ses options d’achat et revend celle-ci certainement effectivement en parti pour payer les impots correspondants. C’est un peu différent.
https://edition.cnn.com/2021/12/05/investing/elon-musk-tesla-stock-sales/index.html
Comment souvent ce genre de news sur Tesla meriterait d’être fouillée au dela du buzz fait sur Twitter.
Les ventes d’actions lui permettent de payer DES impots et non de régler ses impots « autrement dus ». Sa réflexion était que la conservation d’une fortune non taxée pouvait s’apparenter à de l’évasion fiscale. Incidemment cela lui permet de disposer d’une forte somme de cash pour faire d’autres choses. Comme monter son propre réseau, il est peut être nostalgique de ses années d’informaticien ?