Cette nouvelle architecture chez Nissan prend place dans une Leaf e+. Le temps sans doute d’effectuer les tests de validation avant implantation dans le futur SUV 4×4 Ariya dont nous ne connaissons pas encore le programme de commercialisation.
Motorisation
Le groupe motopropulseur de cette Nissan Leaf e+ d’essai est composé de 2 moteurs électriques haute puissance, respectivement placés à l’avant et à l’arrière du véhicule.
De concert, ils développent une puissance maximale de 227 kW pour un couple de 680 Nm. Des chiffres à comparer, par exemple, à la Tesla Model 3 Long Range à motricité intégrale : 258 kW de puissance, 527 Nm de couple.
Sous l’apparence d’une Leaf sont embaquées les nouvelles technologies que le constructeur japonais réserve à sa prochaine génération de véhicules électriques. Cette dernière devrait comprendre une version commercialisable du concept Ariya qui vient d’être présenté à Tokyo.
Contrôle du châssis
Pour Nissan, l’emploi de 2 moteurs ne se limite pas à doter ses futures voitures électriques de la motricité intégrale. Associée à divers dispositifs de contrôle du comportement du châssis, cette motorisation apportera un surplus de confort et de sécurité.
Pour faire court, les mouvements de caisse dans les virages, sur chaussées déformées et lors des freinages seront gommés. Concrètement, en partie grâce à la décélération régénérative disponible sur les 4 roues, les passagers d’une voiture ainsi équipée seront peu ou pas projetés vers le pare-brise lors des phases de ralentissement.
En virage serré, même sur route mouillée ou enneigée, le conducteur arrivera mieux à contrôler la trajectoire, le véhicule virant potentiellement plus près de la corde, sans mouvements exagérés de la caisse.
Confort et performances
Vice-président directeur de la recherche et de l’ingénierie avancée chez Nissan, Takao Asami assure que l’architecture à l’œuvre dans la Leaf e+ d’essai va permettre « de réaliser un saut considérable en termes d’accélération, de performances en virage et de performances de freinage, à égalité avec les dernières voitures de sport ».
Grâce à un pilotage fin des 2 moteurs, qui distribue de façon différenciée le couple et la force de freinage aux 4 roues, le véhicule se fait à la fois plus réactif et plus doux. Ce nouveau comportement du châssis est de nature à réduire le risque de mal des transports et le sentiment d’inconfort associé.
Ecran de 12,3 pouces
Cette Leaf d’essai, revêtue pour les circonstances d’une robe plus sportive, embarque un système de contrôle visuel du comportement du véhicule dont les données calculées en temps réel s’affichent sur un écran 12,3 pouces. Monté au centre du tableau de bord, il communique ses informations via une interface graphique épurée.
Un affichage personnalisé permet au conducteur de comprendre les mouvements imprimés au véhicule et d’évaluer les performances de la technologie de commande intégrale Nissan.
la belle affaire pour une voiture qui a surtout besoin d’un système de refroidissement digne de ce nom
Sinon, préférez le thermique
Si elle ne vous accroche pas, ne vous fatiguez pas, n’en parlez pas n’écrivez rien,et surtout ne l’achetez pas !!!!
Pour voir le superbe lac dans mon coin, on habite en hauteur et l’hiver (Québec) il faut des roues motrices. Mieux vaut une Leaf à roues motrices qu’un gros pickup!
« Nissan prépare le futur » (implantation dans le futur SUV 4×4)
C’est ça préparer le futur ?
« Nissan enterre l’avenir de nos enfants avec la prochaine sortie d’une grosse m—- de SUV 4×4 de 227 Kw »
Quelle misère humaine
« Nos enfants nous accuserons »
Enfiinnnn ! Nissan à tout compris ! Depuis le temps que j’attendais une 4 roues motrices sur de l’elec (Tesla un trop cher et pas assez connecté). Car actuellement impossible de passer toute la puissance en traction avec de l’elec. Ça ne fait que burner, burner, burner sur la leaf actuelle. La ça va pousser net ! Enfin! C’est la fin des tractions avec la puissance de l’elec ! Bravo Nissan ! A quand une GTR electrique pour montrer qui c’est le roi à Tesla ? Après le refroidissement on s’en cogne. Je ne vais pas traverser la France avec une leaf. C’est juste pour prendre du plaisir dans la vie réelle, c’est à dire pour les 5000 bornes annuelle
Au contraire, je trouve ça assez intéressant. Installer un refroidissement liquide ou une prise combo, ça n’est plus franchement de l’ordre du R&D mais plutôt tributaire du seul choix à la conception. Une fois la décision prise, on installe et hop.
Si on est vraiment sur 4 moteurs, c’est une sorte de super-abs, avec une motricité bien supérieur à une traction, à condition, justement, de régler finement les interactions entre les 4 moteurs.
Curieux de voir le résultat
Marre de lire des Articles incompréhensibles…
A la lecture, sans jamais l’avoir essayé, j’en déduits que la Leaf 2 roues motrice est îconduisible et doit aimer les bas côtés.
Le top c’est:
Un affichage personnalisé permet au conducteur de comprendre les mouvements imprimés au véhicule et d’évaluer les performances de la technologie de commande intégrale Nissan.
Une version 4×4 c’est fait pour Les routes de montagne sous de la neige, c’est certainement le meilleur moment pour regarder l’ecran plutôt que la route !!!!
Nissan ferait mieux de se concentrer sur quelque chose de bien plus important comme par exemple, je ne sais pas… un refroidissement batterie digne de ce nom, et de la charge CCS 150 kW par exemple… non ?
4*4, 2 moteurs, plus de puissance, plus de couple, plus de tout et 1000km en 15h30…
Une gestion thermique de la batterie serait pourtant suffisante.
si nissan pouvait rajouter un 3eme moteur, type pompe a eau et un circuit de gestion thermique des cellules, ca serait encore mieux …
» les passagers d’une voiture ainsi équipée seront peu ou pas projetés vers le pare-brise lors des phases de ralentissement. »
Ca veut dire que la régénération sera faible alors.
heu on comprend pas tout, l’article commence avec 2 moteurs et fini avec 4 !!!!
c’est le meme véhicule ? une évolution ?