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Représentant plus d’un tiers des ventes du constructeur sur les six premiers mois de l’année, le Mitsubishi Outlander PHEV offre à la marque nippone un nouvel élan.
Les bons résultats s’enchaînent chez Mitsubishi. Après avoir bouclé une année 2018 avec 62 % de ventes supplémentaires, la marque nippone enregistre à nouveau une belle progression au premier semestre 2019 avec une hausse de ses immatriculations de 56 % par rapport au premier semestre 2018.
Figurant parmi les constructeurs affichant la meilleure progression dans l’Hexagone, la marque aux trois diamants doit beaucoup au succès de la version hybride rechargeable de l’Outlander. Premier sur le segment des PHEV, le SUV nippon totalise 1520 immatriculations sur le semestre, soit presque quatre fois plus que l’an dernier.
Au final, le Mitsubishi Outlander PHEV a représenté plus d’un tiers des 4533 immatriculations réalisées par le constructeur sur les six premiers mois de l’année. Espérons maintenant que ces excellents résultats inciteront la marque à accélérer ses plans dans le domaine des véhicules « plug-in ».
Il y a donc de la demande !
Flash info : il se dit que le directeur du développement de BMW aurait conseillé d’être vendeur sur les actions Mitsubishi (et d’acheter des actions Kodak). ;-)
(voir article arrêt de l’i3 pour ceux qui ne l’ont pas lu)
Pas étonnant. C’est le Outlander qui offre le meilleur rapport/qualité pour un PHEV.
Avec la version 2019, j’arrive à faire 60 kms en tout électrique.
Quand on voit le prix (le double) des premium allemands avec une autonomie beaucoup plus faible…
Bravo, et s’il avait le courage de rénover leur iMev avec une batterie actualisée mini 30 kWh elle ferait un carton avec un prix normale.
vu le nombre très modeste de ces modèles vendus en France, il serait fort intéressant que les garages Mitsubishi collectent (et diffusent !) les valeurs de kilométrages parcourus et leurs consommations “OBD” (On Bord Diagnostic) associées. Faut-il s’attendre à de grandes économies en CLIENTELES REELLES (pas NEDC, WLTP, ou optimisées Constructeur) en carburant, en émissions CO2, et en budget, ou ce sont majoritairement des clients “tous frais payés par le patron” et qui se préoccupent très peu de l’efficience énergétique et environnementale de leur “véhicule de fonction” mais surtout de leur image “super-verte” malgré un lourd SUV (> 1,8 tonne…). Il a été plusieurs fois rapporté dans la presse que les clients (“très pressés”) de tels P-HEV faisaient rarement des recharges intermédiaires (“ils n’ont pas le temps…”) et qu’ils s’en servaient alors MAJORITAIREMENT comme des Hybrides classiques, tout en emportant constamment un surpoids de batterie déjà conséquent (ici pour 13,8 kWh) !
Oui, pour rouler 100% électrique avec l’outlander, vaut mieux faire de la ville. Il a d’ailleurs le gabarit idéal pour cela….
Mitsu a eu pendant des années au catalogue un modèle génial, la i-MiEV. En gros, le seul modèle potable. Qui d’ailleurs faisait un peu “tache” par rapport à tous les molosses de leur line-up.
Et maintenant, il n’y a plus de i-MiEV. Et rien pour la remplacer. Sacré progrès. Alors continuez de vendre des gros machins avec une petite batterie mais un gros réservoir. Tant que ça rapportera.
Difficile de parler écologie qd la consommation sur autoroute dépasse 9l/100
Pas d’accord sur la conclusion de l’article avec le souhait d’accélération des plug-in …
Vu la complexité de ce genre d’engin, (hybride parallèle/série au mauvais rendement sur autoroute), et devant la décrue du coût des VE, avec en parallèle l’accélération du développement des réseaux de superchargeurs, je pense qu’il vaut mieux investir dans les VE, quitte à en proposer certains avec un REX (avec contenance suffisante pas comme l’I3), pour “dépanner” ceux qui n’ont pas de point de charge à domicile, et qui rechargeront exclusivement aux stations. de superchargeurs (une fois par semaine environ), et ne resteront pas bloqués .